• CAMPEMENT des INDIGNÉS à PARIS Bercy !


    lettre d'un indigné:

    Objet : CAMPEMENT des INDIGNÉS à PARIS Bercy !

    A faire tourner sur Paris, France, Europe, Monde!

    50 tentes, une centaine de personnes depuis cette nuit minuit;

    Pas encore virés !

     Ils se trouvent sur l'esplanade de la "pyramide" Bercy, sur le côté en face et à gauche de celle-ci. Visez le "Novotel".

    Ils demandent à ce que que la population les y rejoigne et fasse comme eux !

    APPORTEZ DUVET, TENTE, À MANGER, ETC

    venez soutenir !

    M° Bercy.

    contacts :

        • Wani : 0682812145
        • Cisco : 0688399626
        • Marie : 0609602641
        • Jean-Baptiste : 0623755280
        • Benoit : 0618997811
        • François: 0663584002 

     

     


     

    RAPPEL LES FAITS...
    ................................................à diffuser...!

     

    LES FAITS

     

    Ce soir la marche des indignés se dirigeant vers Bruxelles, passait son troisième jour à Paris et empruntait le boulevard Saint-Germain, quand vers 21 heures sont arrivés plusieurs fourgons de la police nationale.

    Rappelons puisque ceci n'est plus une évidence que la police est sensée servir le peuple et le protéger.

    Or sans aucun avertissement préalable et sans aucune raison, ils ont gazé avec des lacrymogènes les marcheurs qui évoluaient sur le trottoir et les ont dirigé vers le boulevard Saint-Germain, dans lequel ils les ont encerclé.

    Sous le prétexte d'un contrôle d'identité, ils les ont gazé une seconde fois et ont utilisé la violence (coups de poings, de pieds et insultes) sur les citoyens des différents pays présents (Français, Espagnols, Grecs, Allemands, Anglais...).

    Pour toute réponse sur la raison de cette interpellation violente de citoyens pacifiques dans leurs droits : "ce sont les o rdres que nous avons reçu". Rappelons qu'un policier a le devoir de ne pas exécuter un ordre allant contre les lois françaises et européennes et de surcroît de dénoncer la personne donnant cet ordre et les agents qui l’exécute. Les citoyens utilisaient ici leur droit à la liberté d'expression et d'opinion et ne troublaient en aucun cas l'ordre public, puisqu'ils empruntaient les espaces réservés aux piétons.

    Une personne a été gravement blessée, inconsciente lors de son départ avec les pompiers et deux autres personnes plus légèrement (l'une d'entre elle a eu une épaule déboitée), ils sont actuellement hospitalisés.

    Plusieurs personnes se sont opposées à l’interpellation en se plaçant devant les bus de CRS amenant les 80 indignés au commissariat de police pour le contrôle de leur identité. Ils ont également été violentés, mais cette fois-ci, de manière plus particulière. Maitrisés par la force, certains d'entre eux ont été éloignés de la vu e des gens, derrière les fourgons de police, ils ont été insultés et ont reçu des gifles et des coups de pied de la part des CRS, les policiers ont rempli leurs gants de gaz lacrymogène et les leur ont passé sur le visage, leur mettant au passage des doigts dans les yeux, pour enfin les embarquer dans un fourgon, qu'ils avaient au préalable également rempli de gaz lacrymogène.

    Finalement les trois quart des personnes ont été relâchées rapidement, puisque aucun chef d'inculpation concret n'existait, les derniers interpellés ont été relaché entre 1h et 2h du matin.

    Cette interpellation est symbolique de la dictature dans laquelle nous vivons et est très grave. C'est la manière que le gouvernement français utilise pour accueillir ses confrères européens et pour répondre à leur aspiration d'une démocratie participative et horizontale.

    Chaque jour nous vivons l'oppression et la répression de cette société oligarchique. C' est une urgence de se soulever pour reprendre nos droits. C'est même un devoir. Nous voulons reconstruire ce monde que nos dirigeant détruisent jour après jour. Mais nous ne pourrons le faire qu'avec vous et votre parole. Un peuple uni va de l'avant.

    La résistance est en marche, rejoignez-nous.

    http://manifestation-ultime.forums-actifs.com 

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  • La victoire des enfants de Marx et Microsoft


    article en relation sur le travailet l'histoire du parti pirate en tunisie : aux-ames-citoyennes-consolidons-la-societe-civile-bravo-au-parti-pirat-a4323542

     

    La Parti Pirate en allemagne

    LIEN SOURCE: LE MONDE 

     

    Ils revendiquent la transparence et la démocratie directe, et près d’un électeur berlinois sur dix vient de voter pour eux. Le Parti pirate n’est plus seulement celui de quelques "nerds", mais défend des revendications qui émanent de l’ensemble de la société, estime la Süddeutsche Zeitung.
    20.09.2011
     Le logo du Parti Pirate allemand

     Le logo duParti Pirate allemand

    Les électeurs berlinois [qui ont voté le 18 septembre], qui se divisent en une multitude de milieux différents, ne semblent se retrouver que sur deux points : leur désamour pour le FDP [la Parti libéral], qui ne recueille jamais plus de 3%, y compris dans les arrondissements bourgeois de l’Ouest de la capitale – et leur intérêt pour le Parti pirate, qui dépasse allègrement la barre des 5% dans tous les quartiers de la ville.

    Souvent, les pirates sont devant les Verts, et parfois même devant la CDU. La base électorale du parti ne se réduit pas à une sorte de cybercommunauté.

    Les principes et le programme électoral du Parti pirate de Berlin contiennent des idées telles que la gratuité des transports en commun et le droit à une allocation universelle qui les rapprochent de la gauche radicale. L'habitus du pull à capuche de certains membres renforce peut-être cette impression. Pour autant, les valeurs fondamentales des pirates échappent à la classique dichotomie gauche-droite. Lire la suite sur presseurop.eu...

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  • Pour article je préfère vous faire partager un poème d'Oriata Tron,  un poème qui en dit long...

    D.O.TRON- opus 125 : te one e te ra i te otue o Berberia- sand and Sun at the Berberia Cape - sable et soleil au cap de Berbéria, île Formentera

     

    LA LOGIQUE DU SOLEIL ET DE L ' ILLUMINE

    par Dominique Oriata Tron, mardi 9 août 2011, 22:43

     

    J'avais dormi à l'orée de la grotte en bas de la falaise.
    Là il n'y avait plus le passage même muet des ondes de la télé
    seulement les cris des gaviotas, espèce de goelands ou de mouettes
    Qui tournoyaient dans les parages  de  leurs nids cachés sur les pentes
    et comme le soleil se levait
    J 'ai cru l'entendre proclamer :



    " Ici le président  de l'union des  créatures libres ...
    (enfin, relativement libres...)
    Ne vous inquiétez pas
    peuples de tortues
    peuples d'abeilles
    peuples de pingouins
    et de manchots
    peuples d'araignées
    peuples de panthères et de requins !

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  • http://observers.france24.com/fr/content/20110715-indignes-espagne-expulsions-logements-crise-mobilisation-reseau-pret-immobilier-bulle
    Les "indignés" se mettent aux mobilisations éclair pour bloquer les expulsions
    Des manifestants bloquent une expulsion, le 12 juillet. Photo publiée sur la page Facebook de Afectados por la hipoteca.  
    Le mouvement des “indignés” de la Puerta del Sol de Madrid s’est emparé d’une nouvelle cause : la crise du logement.
    Sur les réseaux sociaux, ses membres se donnent rendez-vous pour des "flashmobs", des mobilisations éclair, afin d’empêcher que des personnes prises à la gorge par des prêts immobiliers ne soient expulsées.   Grâce aux militants espagnols et aux réseaux sociaux comme Facebook et Twitter, quand les bailleurs décident de mettre une personne à la porte, une foule de manifestants improvise un sit-in pour bloquer toute expulsion. Les "flashmobbers" sont informés quelques heures avant l’arrivée des forces de l’ordre grâce aux informations transmises par les militants.   Cette mobilisation en ligne s’avère plutôt efficace : près de 50 expulsions à travers tout le pays ont ainsi été interrompues. Si ces actions coup de poing n’empêchent pas d’annuler les impayés au propriétaire, elles offrent aux personnes en instance d'expulsion un peu de répit, le temps que les autorités émettent un nouvel avis.

     

    Une expulsion ratée le 12 juillet, à Terrassa, dans la banlieue de Barcelone. Vidéo postée sur YouTube par .
    Quelque 300 000 personnes ont dû quitter leur logement ces deux dernières années à cause de la bulle spéculative immobilière. Pour la majorité des citoyens, les familles touchées par la crise sont des victimes des dérives du système bancaire. Ils se sont donc mobilisés en implantant plusieurs réseaux d’entraide à travers le pays. L’initiative est chapeautée par l’organisation Plataforma de Afectados por la Hipoteca ("Plateforme pour les victimes de l’hypothèque") qui fait campagne pour aider les familles en situation précaire depuis 2009.   Avant la crise économique de 2009, pendant une dizaine d’années, l’Espagne a connu un véritable boum immobilier. Les banques ont accordé des prêts sans apport personnel dont le montant équivalait à la valeur exacte de la maison achetée. Pour certains, il était plus facile d’obtenir un prêt immobilier que de louer un logement. Mais avec la crise économique, beaucoup d’Espagnols se sont retrouvés dans l’incapacité de rembourser leurs prêts car les taux d’intérêt ont subitement augmenté. En Espagne, le chômage a atteint son taux le plus important d’Europe avec 21 % d'actifs sans emploi, ce qui a eu pour conséquence une nette augmentation des défauts de paiement.   Par ailleurs, alors que de nombreuses familles expulsées devaient aller vivre chez des amis, quelque 700 000 logements dans le pays restent inoccupés. Des logements qui sont devenus la propriété des banques, notamment parce que leurs propriétaires n’ont pas réussi à rembourser leurs prêts.  
      Un homme menacé d'expulsion remercie les manifestants qui se sont mobilisés pour lui.

    "Nous sommes suffisamment nombreux pour empêcher une expulsion"

    Adria Alemany est la coordinatrice de la Plataforma de Afectados por la Hipoteca.
     La perspective de perdre sa maison est tellement honteuse et terrifiante. Beaucoup préfèreraient arrêter de manger plutôt que d’être expulsés de chez eux. Des milliers de personnes sont dans cette situation, c’est absurde ! Ce sont des gens ordinaires, comme Marisa, une femme qui nous a contactés parce qu’elle pensait que sa cause était perdue. Elle est nourrice, mère de deux enfants et n’a nulle part où aller. Nous sommes parvenus à bloquer son expulsion et nous négocions avec les autorités pour lui trouver une solution. Ces personnes sont vulnérables et elles ont besoin de savoir qu’elles ne sont pas seules.  
    Une tente dressée devant une banque : "Bienvenue chez moi - Victime d'un prêt immobilier". Photo postée sur Facebook par Afectados por la
    hipoteca.

    Dans un premier temps, nous essayons de traiter avec les banques et de passer par les procédures officielles. Mais, souvent, les autorités n’ont pas conscience de la réalité des difficultés de ces gens, donc cette approche ne marche pas toujours. Et les familles finissent par se faire notifier un avis d’expulsion dans les jours qui suivent. Notre base de données contient des milliers de contacts. Beaucoup de personnes viennent vers nous parce qu’elles connaissent quelqu’un qui est menacé d’expulsion. Nous organisons des événements sur Facebook que nous relayons sur Twitter et auprès de nos réseaux implantés localement. Chacune de ces mobilisations rassemblent 200 personnes. Elles brandissent des pancartes et font beaucoup de bruit. Nous sommes suffisamment nombreux pour empêcher une expulsion. Nos interventions sont non violentes. Nous forçons simplement les autorités à repartir. Sur les 50 expulsions que nous avons interrompues, les familles ont toutes été très reconnaissantes. Mais nous n’avons malheureusement pas les moyens de réagir à chaque fois. Pour aller plus loin dans notre mobilisation, nous sommes en train d’envisager de reprendre possession des maisons. Le plus incroyable, c’est que 700 000 propriétés sont en train de décrépir sans que personne n’y habite alors que des gens sont forcés à vivre dans la rue.


    "Cette situation est une bombe à retardement"


    Quand nous avons créé cette plateforme de conseil en 2009, c’était principalement les immigrés qui nous contactaient. Ce sont les premières victimes de la crise. Ils n’ont pas forcément de soutien de la part de leur famille, contrairement aux Espagnols. Je connais un nombre incalculable d’immigrés qui ont été contraints de partir parce que l’Espagne n’était pas l’Eldorado qu’ils espéraient. Aujourd’hui, près de 80 % des personnes qui font appel à nous sont des natifs espagnols. Les gens sont gênés de ne pas être capables de se défendre seuls. Mais cette mobilisation permet peu à peu de les décomplexer.

     

      

    Des activistes de Afectados por la Hipoteca. "Juste pour savoir ! Cette banque a déçu, escroqué et mis les gens dehors." Vidéo postée sur YouTube par afectadosxlahipoteca.

    Cette situation est une bombe à retardement et les conséquences sociales seront graves pour le pays. Sans toit, on ne peut pas s’installer et fonder une famille. Et si on a des enfants, on ne peut plus assurer leur éducation et ils peuvent être amenés à quitter le foyer.  

     

    Le gouvernement peut agir en rachetant les logements vides pour les revendre à un prix raisonnable. Si l’État ne peut même plus assurer leurs droits à ses citoyens et subvenir à leurs besoins, c’est un véritable aveu d’échec pour un pays."

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