• article à voir sur: http://bercy.blog.lemonde.fr/2012/11/08/l-anti-rapport-gallois-dattac-et-de-la-fondation-copernic/

    "En finir avec la compétitivité". Tel est l'objectif poursuivi par sept militants d'Attac et de la fondation Copernic, économistes pour la plupart, qui, dans une étude de 27 pages, critiquent les principaux points du rapport de Louis Gallois sur la compétitivité et dénoncent le "triple ralliement" du pacte du gouvernement "aux dogmes libéraux : à celui des salaires et des cotisations sociales comme cause de la désindustrialisation et du chômage, à celui de la nécessité de la baisse des dépenses publiques et à celui de la TVA antisociale".

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  • Belle synthèse dans Rue 89,

    lien: http://blogs.rue89.com/amerique-dans-la-peau/2012/11/08/les-chinois-sandy-bill-obama-oublie-de-vous-dire-merci-228869:

    Les Chinois, Sandy, Bill... Obama a oublié de vous dire merci

    Publié le 08/11/2012 à 17h58

    Finalement, Superman n’est pas cloué au sol. Pas hyper à l’aise pour combattre la crise, il a remis sa panoplie pour vaincre l’immonde Mitt Romney et offrir au monde quatre années de joie, de bonheur et d’allégresse. La force bleue a terrassé la force rouge qui aurait enfoncé le monde dans des ténèbres proches d’un Moyen-Age effrayant. La lumière a vaincu l’ombre. Bref, Obama a gagné.

    Mais comment a-t-il réussi là où Nicolas Sarkozy, Gordon Brown, José Luis Zapatero ou Silvio Berlusconi ont lamentablement échoué ? Comment a-t-il survécu à la crise ?

    Dans son discours, Obama a remercié plein de monde : sa femme, les militants, les votants... Mais il en a oublié quelques-uns.

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  •  ARrticle de BASTAMAG http://www.bastamag.net/article2698.html

    Le sondage sur les banquiers dont vous n’entendrez pas parler


     
    Le sondage sur les banquiers dont vous n’entendrez pas parler

    Le sondage sur les banquiers dont vous n’entendrez pas parler

    Par Ivan du Roy (10 octobre 2012)

    Les banquiers reconnus coupables de fraudes ou de manipulations des marchés devraient-ils encourir des sanctions pénales, dont des peines de prison ? A cette question posée par un institut de sondage (en ligne) britannique, YouGov, 89% des interrogés répondent oui. Le sondage a été mené début octobre auprès d’un panel représentatif dans trois pays – France, Allemagne et Royaume-Uni – pour l’organisation non gouvernementale Avaaz, basée à New York.

     

    Les Français sont les plus indulgents envers leurs banquiers voyous : 56% sont favorables à des peines de prison, contre 60% en Allemagne et 70% au Royaume-Uni. Parmi les banques suspectées d’avoir commis les « pires abus du système financier », les sondés français placent la Société générale très largement en tête, suivie par BNP-Paribas et le Crédit agricole. Même logique au Royaume-Uni et en Allemagne où Barclays – impliquée dans des manipulations à grande échelle – et la Deutsche Bank – pourvoyeuse comme Goldman Sachs aux Etats-Unis de crédits pourris – sont particulièrement pointées du doigt.


    Côté régulations, les sondés ne se font pas vraiment d’illusions. « Concernant les lois régulant le système bancaire, qui estimez-vous que le gouvernement écoute le plus ? » 67% des Allemands, 64% des Britanniques et 49% des Français répondent « les grandes banques ». Un relatif brin d’utopie demeure cependant : 27% des Français pensent que le gouvernement écoute encore « les gens ordinaires », contre 11% des Allemands et… 3% des Britanniques. Réalisme ou fatalisme ?

    Voir les résultats du sondage

     

     

    http://www.bastamag.net/article2698.html

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  • Deux agriculteurs américains témoignent des méfaits des OGM



     

    Wendel Lutz et Wes Shoemyer à Paris le 30 octobre 2012 

    « Les OGM détruiront votre modèle d’agriculture familiale s’ils sont adoptés ! »

    C’est en substance le message que sont venus porter en France deux agriculteurs américains « repentis » des OGM. L’un, Wes Shoemyer, petite barbichette, grand sourire et chevalière frappée d’un symbole franc-maçon, dirige une exploitation de 1 200 hectares dans le Missouri, l’Etat abritant le siège de Monsanto.

    Elu démocrate au sénat du Missouri, il est en lutte contre « l’accaparement monopolistique de l’agriculture par une poignée de firmes ».

    A ses cotés, Wendel Lutz, la cinquantaine débonnaire du typique « mid-west farmer », l’air tragique en plus de l’homme en résistance.

    Ils ont été invités à témoigner par Greenpeace afin de raconter « leur réalité ».

    Solidement installé au fond de sa chaise, Wes Shoemyer raconte :

    « Avant l’introduction des OGM, nous utilisions déjà l’herbicide Roundup pour brûler les mauvaises herbes, c’était miraculeux ! Entre 1996 et 2001, au moins 80% des agriculteurs ont adopté ce système des OGM. »

    L’élu reproche aujourd’hui à Monsanto d’avoir mis en place une stratégie de capture du marché avec des prix attrayants, en particulier sur le Roundup, pour ensuite organiser l’envolée des prix.

    Il est inquiet de voir « les agriculteurs payer de plus en plus cher, non plus pour financer la recherche ou améliorer leur production, mais pour s’acquitter d’un brevet contrôlé par une seule compagnie ».

    Aux États-Unis, la technologie brevetée Roundup Ready de Monsanto est présente dans 94% des variétés de soja génétiquement modifié et 70% du maïs génétiquement modifié d’après le ministère de l’Agriculture.

    Des mauvaises herbes résistantes au Roundup

    Aux Etats-Unis, entre 2000 et 2011, la consommation annuelle de glyphosate, la substance active du Roundup est passée dans les champs de maïs de 1,8 million à 30 millions de tonnes dues à l’expansion massive des OGM. Une explosion de la consommation qui s’explique également par l’augmentation des doses pour tenter de contrôler certaines mauvaises herbes devenues tolérantes au Roundup, découvertes pour la première fois en 2000 dans le Delaware.

    Une mauvaise surprise dure à digérer pour Wendel Lutz :

    « C’est en 2011, que j’ai observé les premiers plants d’amarantes rugueuses résistants au glyphosate se développer dans mes champs.

    C’est injuste qu’après seulement cinq ans d’exploitation des OGM mes champs aient été envahis, c’est à ce moment que j’ai décidé d’arrêter et d’alerter mes collègues ! »

    Au moins 5 millions d’hectares de cultures, d’après l’industrie, seraient contaminés par ces « super adventices », capables de résister à plusieurs classes d’herbicides. L’organisation internationale chargée de leur contrôle (ISHRW), financée par les producteurs de pesticides, a déjà recensé 23 espèces sauvages résistantes, un chiffre sous-estimé selon d’autres experts.

    La fuite en avant vers toujours plus de pesticides

    Wendel raconte :

    « Certains de mes voisins qui ont le même problème préfèrent continuer en augmentant les doses ou en cumulant plusieurs molécules. C’est une fuite en avant avec le risque qu’à terme la plupart des mauvaises herbes deviennent résistantes à tous les herbicides. »

    Une tendance que suit l’industrie. Sur 20 nouveaux OGM en cours d’évaluation auprès de la FDA, l’agence de régulation sanitaire américaine, 13 sont élaborés pour résister à de multiples herbicides. La firme Dow pense répondre à ce fléau en réintroduisant d’anciens herbicides comme le Dicamba ou le 2-4 D, ayant servi dans la composition de l’agent orange lors de la guerre du Vietnam et auquel des résistances de plantes sauvages ont déjà été observées.

    Un retour aux semences conventionnelles ?


    Etiquette d’un sac de semences OGM

    Pour Wes, il est encore possible d’agir :

    « Il faudrait revenir en arrière, vers des semences conventionnelles ; certaines compagnies en ont fait une spécialité. Malheureusement, il y a une vraie dépendance des agriculteurs vis-à-vis de ces technologies que les compagnies ont intérêt à entretenir et cela au détriment des bonnes pratiques culturales. »

    Pour Wendel il faudrait « une impulsion économique, une plus grande demande pour du non-OGM, pour voir un changement d’orientation » dont l’étiquetage des OGM, actuellement en débat, pourrait être le socle.

    En guise d’avertissement final, Wes Shoemyer lance :

    « Si la France ou l’Union européenne adoptaient les OGM, cela aurait un impact majeur sur les campagnes. Si vous voulez de grandes fermes en monoculture, si vous souhaitez vider les zones rurales de leurs habitants, alors vous adoptez le modèle OGM. C’est cela l’expérience américaine : une agriculture sans agriculteur contrôlée par des entreprises multinationales ! »

     

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