• Clin d'oeil pour Georges et les jeunes générations!

    lien source des extraits du livre sur google , vous y trouverez les adresses pour le livre papier! ......> http://books.google.fr/books?

     

    Dieudonné Toukam

     
    Histoire et anthropologie
    du peuple bamiléké

     

     Histoire et anthropologie du peuple bamiléké

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    Oxfam France Newsletter Juin 2013

    copié collé de la page à voir sur: http://optimus.custmta.com/re?l=3blebdI1179phwIr

    Oxfam France    
    JUIN 2013
     
    La City

    L'Europe, plus grand paradis fiscal du monde

    De nouvelles recherches d'Oxfam révèlent que plus de 12 000 milliards de dollars sont cachés par des particuliers dans les 21 paradis fiscaux de l'Union européenne. Alors que les Etats multiplient les mesures d'austérité, ces paradis fiscaux font perdre chaque année à l'Europe 100 milliards de dollars en recettes fiscales.

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      Fillette Sahel - David Clark / Oxfam

    Taxer la finance pour soigner au Sahel

    C'est une victoire de la solidarité internationale face aux logiques comptables : la taxe française sur les transactions financières sera en partie affectée à des programmes d’accès aux soins pour les enfants du Sahel.

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    Trailwalker 2013 : bravo et merci !

    Plus de 350 000 euros récoltés, 752 marcheurs et marcheuses extraordinaires, 675 supporters en folie, 250 bénévoles fantastiques... Cette 4ème édition du Trailwalker Oxfam France a été un succès à la hauteur de votre engagement !

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      Nana Kojo Kondua IV, créateur d'emplois

    Césarienne : derrière l'acte médical, le choix politique

    Devoir attendre 5 jours une césarienne, faute d'avoir pu réunir le budget nécessaire, un cauchemar ? Une réalité pour les femmes pauvres au Sénégal. La gratuité des soins, que défend Oxfam, est essentielle pour sauver des vies.

    En savoir plus sur la gratuité des soins

     
     

    Oxfam France,
    25 ans d'engagements !

    Pour fêter nos 25 ans, nous donnons la parole tout au long de l'année à nos donateurs, adhérents, militants, bénévoles, et toutes celles et ceux qui nous ont soutenu...

    Jeremy Hobbs, ancien directeur général d'Oxfam

     

    Désinscription et contact :
    web@oxfamfrance.org

    Oxfam France

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  • article de www.santenatureinnovation.fr/

    Histoires d'antidépresseurs


    Cher lecteur,

    Avant toute chose, une mise en garde : cesser brutalement un traitement antidépresseur peut souvent être plus dangereux que de le poursuivre. Il est important de ne diminuer le traitement que très progressivement, et sous la surveillance d'un médecin qualifié. Cesser ce type de traitements peut causer des problèmes plus graves encore que le symptôme qui avait causé la prise du traitement.

    Le but de cet article n'est donc surtout pas de vous inciter à arrêter votre traitement de votre propre chef, si vous êtes actuellement sous antidépresseur.

    Mais voici les faits.

    Un nombre impressionnant de tueries ont eu lieu ces dernières années dans des établissements scolaires.

    Une page Wikipedia (en langue anglaise) en recense soixante-quatre depuis la fin du 19e siècle et le développement des écoles à grande échelle.

    Parmi eux 50 se sont produits entre 1989 et aujourd'hui, soit 78 % des cas, avec une accélération depuis les années 2000.

    En fait, tous sauf trois ont été commis depuis 1964.

    Parmi les 3 massacres scolaires commis avant 1964, un a été commis en Allemagne en 1913 par un homme de 27 ans, et un aux Etats-Unis en 1927 par un homme de 55 ans, diagnostiqué fou.

    Le troisième cas avant 1964, et le seul impliquant des mineurs, a eu lieu à Vilnius (actuelle Lituanie) en 1925 où deux lycéens militant communistes ont attaqué le jury d'un examen, tuant un professeur et plusieurs élèves, pour des raisons probablement politiques.

    Voici où je veux en venir : lorsque vous apprenez à la télévision qu'un nouveau massacre a eu lieu dans une école, n'écoutez plus les commentateurs qui expliquent que « ce type de violence a toujours existé », ou qui laissent entendre que ce sont les moyens de communication modernes qui font qu'on parle de ce type de cas, que l'on n'était tout simplement pas au courant avant, mais qu'ils se produisaient quand même.

    C'est faux, archi-faux. La vérité, c'est que c'est une totale nouveauté que des enfants se mettent ainsi à perpétrer des crimes de masse.

    Le cas du serial-killer de 14 ans assoiffé de sang, assassinant un à un des petits camarades selon une mise en scène macabre, et dans l'espoir de paraître à la télé comme le plus épouvantable meurtrier de l'histoire de l'humanité, est une nouveauté extrêmement inquiétante, qui peut être datée historiquement, à partir des années 60.

    Les armes sont-elles seules responsables ?

    A chaque fois, la réaction des médias est la même : il faut interdire les armes à feu !

    Il est vrai que, si les armes à feu n'existaient pas, il serait difficile à quelqu'un de tuer autant de monde à la fois.

    Toutefois, cela fait des siècles que les Américains sont en majorité équipés d'armes à feu. En France aussi, d'ailleurs, tous les paysans ou presque avaient traditionnellement une carabine suspendue au-dessus de leur cheminée. Quand l'essentiel de la France était rurale, cela représentait des millions d'armes à feu en circulation dans le pays, aisément accessibles aux écoliers.

    Et pourtant, à l'époque de Jules Ferry, on ne répertorie aucun cas d'élève fou ayant sorti de son cartable une carabine bourrée de chevrotine et ayant commis un carnage sur son professeur, ses camarades, etc.

    Au 19e siècle, on recense des affrontements entre lycéens, dont plusieurs célèbres révoltes organisées par les élèves de Louis-Le-Grand, qui nécessitèrent l'intervention de la police. Mais il s'agissait de violences dans le but de protester contre une situation ou un enseignement considérés collectivement comme insupportable, à tort ou à raison.< br>
    On a connu, bien sûr, des règlements de compte. Mais il s'agissait alors d'assassinat visant une personne en particulier, pour une raison précise (ce qui ne veut pas dire qu'elle était bonne...). Et encore cela n'était-il pas courant du tout.

    En France, le premier rapport sur la violence des jeunes à l'école, confidentiel, est rédigé par l'inspecteur général Georges Tallon en 1979.

    Comment expliquer les crimes de masse ?

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  • photos La vie quotidienne des femmes de Gaza

    voir article sur Courrier International

    lien  http://habjouqa.photoshelter.com, magnifiques photos photos La vie quotidienne des femmes de Gazade Tanya Habjouqa, photographe d'origine jordanienne, photos de la vie quotidienne des femmes palestiniennes dans la bande de Gaza.
     

    Livre: "Des femmes témoignent sous les bombes".

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  • Une femme palestinienne passe devant une maison détruite lors d'un raid aérien israélien sur Gaza, le 20 Novembre 2012. Une femme palestinienne passe devant une maison détruite lors d'un raid aérien israélien sur Gaza, le 20 Novembre 2012. AFP
    "Plus de maison mais, Dieu merci, nous sommes en vie"

    Vérifier que les batteries de la radio sont chargées et les lampes-torches à portée de main, rester le plus loin possible des fenêtres : mes deux sœurs et moi avons fait les préparatifs habituels, ceux que nous faisons toujours avant les nuits qui s'annoncent difficiles.

    Une heure de sommeil ininterrompue tient désormais de l'impossible fantasme ici, dans la bande de Gaza, et je ne fais pas exception. Nous nous sommes tout de même couchées tôt ce soir-là, pour ne pas gaspiller une seule minute de calme relatif. Nous avions le bonheur de dormir depuis une heure et demie quand notre sommeil a été interrompu par une forte explosion – une bombe puissante venait de tomber non loin. J'ai bondi de mon lit en criant : "Fuyons !"

    Après nous être remis du choc et avoir vérifié que nous étions bien vivantes, nous nous sommes empressées d'allumer la radio pour essayer de voir où était tombée la bombe. Etonnamment, la station locale ne diffusait pas d'informations, mais un message des Israéliens qui mettait en garde contre le Hamas et la résistance. L'armée israélienne occupait la fréquence et nous appelait nous, les civils, à faire attention car le "Hamas joue avec [nos] vies".

    J'étais ravie d'apprendre qu'Israël se soucie de mon existence. Cherchant à deviner d'où était venue l'explosion, nous avons compris que la frappe visait le ministère de l'Intérieur, dans le quartier sud de Tal Al-Hawa. Ayant vérifié que ça n'était pas trop près de chez moi, j'ai dû prendre des nouvelles de tous les amis que j'ai dans ce quartier et j'ai découvert que mon amie Areej venait de mettre à jour son statut Facebook : "Plus de maison mais, Dieu merci, nous sommes en vie." Areej m'a raconté que les bombardements étaient incessants autour d'eux et que, tout à coup, c'est sa maison qui a explosé. "Je n'arrive pas à oublier le bruit des vitres qui volent en éclats sur nous."

    La maison d'Areej avait déjà subi des dégâts lors de l'opération Plomb durci (2008-2009) qui avait visé le QG de la sécurité préventive, situé juste derrière le ministère de l'Intérieur. Cette fois, les ravages sont bien plus graves : de la maison, il ne reste que les murs (ce qu'on peut considérer comme une chance). La maman d'Areej est désolée pour sa maison, mais heureuse que ses enfants soient sains et saufs. "Mon mari et moi avons travaillé toute notre vie pour nous construire cette jolie maison, et il n'a fallu qu'une seconde aux Israéliens pour tout détruire."
    Abeer Ayoub

    Terreur dans l’enclave palestinienne

    Le ciel continue à faire régnerla terreur sur Gaza. La ville était en flammes à la nuit tombée.Et tous les Palestiniens dans ce territoire en état de siège attendent avec inquiétude de savoir quelle sera la réaction du Hamas à la dernière surenchère israélienne. A Gaza, les dirigeants du Hamas se retrouvent dans une position délicate. D’un point de vue politique, ils ne peuvent risquer (et n’en ont d’ailleurs pas les moyens) de lancer une contre-offensive de grande ampleur. Pourtant, ne pas réagir serait considéré comme un aveu de faiblesse. Les circonstances de cette offensive israélienne sont étrangement similaires à la guerre menée par Israël à Gaza en 2008 sous le nom d’opération Plomb durci : l’hiver approche, le Congrès américain attend ses nouveaux élus après l’élection présidentielle et nous sommes à la veille d’une échéance électorale israélienne. Mais la comparaison s’arrête là. Cette fois, la rue arabe s’est réveillée. Le nouveau gouvernement en Egypte ne permettra pas un renforcement du siège de Gaza de connivence avec Israël, comme c’était le cas sous l’ex-président égyptien Hosni Moubarak. Le siège du Hamas n’est plus à Damas [et le mouvement est donc plus indépendant]. En outre, le vote des Nations unies pour accorder à la Palestine le statut d’Etat observateur devrait avoir lieu le 29 novembre. Israël a déjà menacé de riposter en faisant annuler les accords d’Oslo (déjà moribonds), une décision qui ferait peut-être la joie de nombreux Palestiniens. En réalité, tout cela n’aura aucune répercussion sur le terrain, sauf peut-être de brider la portée et la férocité des attaques israéliennes.

    (Layla Al-Haddad, gazamom.com)

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