• Article de http://www.liberation.fr/politiques/06015088-contre-la-circulaire-gueant-caroline-huppert-parraine-une-etudiante-etrangere

    Contre la circulaire Guéant, Caroline Huppert parraine une étudiante étrangère

     

    En partenariat avec le collectif du 31 mai et Université universelle, «Libération» soutient le parrainage - par des personnalités - d'étudiants étrangers menacés d'expulsion, et diffuse chaque jour une vidéo sur son site.

    Caroline Huppert, cinéaste, parraine Zineb, diplômée de l'Ecole des Mines de Saint Etienne, menacée par la circulaire Guéant. Elle explique pourquoi.

    Une vidéo de:
    L'université universelle et du Collectif du 31 Mai

     

     

     
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  • article de TV24

    http://www.france24.com/fr/20120330-israeliens-declarent-leur-flamme-iraniens-internet-facebook-guerre-ronny-edry-on-vous-aime-campagne

    "Samedi dernier, un millier de manifestants a protesté à Tel-Aviv contre le risque d’une guerre avec l’Iran, beaucoup d’entre eux portaient les affiches "Iraniens, on vous aime"."

     

    Des Israéliens déclarent leur flamme aux Iraniens via Internet

    Des Israéliens déclarent leur flamme aux Iraniens via Internet

    La campagne électronique "Iraniens, nous vous aimons", lancée par un couple d’Israéliens, a suscité l'enthousiasme de milliers d’internautes animés par un même désir : empêcher une guerre entre Israël et l’Iran.

    Par Maha BEN ABDELADHIM (texte)
     

    Alors que le ton ne cesse de se durcir entre Israël et l’Iran au sujet des activités nucléaires de Téhéran, des citoyens israéliens et iraniens ont choisi de célébrer l’amitié entre leurs deux peuples.

    L’État hébreu a intensifié, il y a quelques semaines, ses menaces d’intervention militaire en Iran dans le but d’empêcher Téhéran d’avancer vers un projet de développement d’armes atomiques. Le président américain Barack Obama n’a pas écarté la possibilité d’utiliser la force en dernier recours, même s’il privilégie pour l’instant la voie diplomatique et les sanctions contre le régime iranien. Ce dernier affirme, pour sa part, que son programme nucléaire est purement civil.

    C'est dans ce contexte tendu que Ronny Edry et sa femme Michal Tamir, tous deux professeurs de graphisme à Tel Aviv, ont lancé une campagne sur les réseaux sociaux et sur un blog appelant au respect entre Israéliens et Iraniens, et rejetant les appels à la haine. Elle a notamment pris la forme d’une invitation sur YouTube dans une vidéo appelant les internautes à relayer son message de paix.

     
     

    Des internautes séduits et intrigués, d’autres méfiants

     

    Des milliers d’Israéliens ont partagé sur Facebook le logo créé par Ronny Edry, "Iraniens, nous vous aimons" en forme de cœur, le collant sur leurs photos de profil.

    Leurs homologues iraniens ont, quant à eux, repris le logo mais sans montrer leur visage, de peur d’attirer les représailles du régime. Plutôt que de commenter ouvertement sur leur blog ou leur page Facebook, beaucoup d'Iraniens ont préféré envoyer des messages privés à Ronny.

    Néanmoins, des milliers d’entre eux ont répondu positivement au message israélien, en le personnalisant : "Amis israéliens, je ne vous hais pas, je ne veux pas de guerre. Paix et amour", comme le montre cette vidéo-montage :

     

     
     
     

    Le succès de la campagne a surpris Ronny, qui a confié au journal de gauche israélien Haaretz qu’il n’aurait jamais pensé que son initiative prendrait autant d’ampleur en 48 heures. D’abord qualifié de "naïf" par ses amis, il a vite été submergé par des messages de respect et de remerciements d’Iraniens.

    "Nous aussi, nous vous aimons, vos mots nous sont parvenus malgré la censure et nous en sommes touchés", disait l’un de ces messages. "La haine est un discours de propagande d’un régime [NDLR le régime iranien] qui va bientôt tomber". Dans un autre, les internautes exprimaient leur aversion du gouvernement israélien : "Le problème n’est pas Israël mais le gouvernement sioniste".

    Deux étudiants en musicologie, l’un Israélien et l’autre Iranienne, qui partagent le même appartement à l’étranger, se sont filmés pour témoigner de leur cohabitation pacifique et de l’enrichissement lié à la découverte réciproque de leurs cultures.

     
     

    Parmi les photos "participatives" postées sur les réseaux sociaux, la plus polémique montre un jeune Israélien embrassant sa petite amie iranienne tout en montrant leurs passeports. Certains commentateurs ont appelé à la vigilance : "Il faut faire attention à ne pas blesser les croyances qui interdisent à une musulmane d’épouser un non-musulman". Mais d’autres ont répondu que "l’identité iranienne passe avant celle musulmane" et ont rappelé l’existence de nombreux lieux de cultes juifs en Iran.

    Samedi dernier, un millier de manifestants a protesté à Tel-Aviv contre le risque d’une guerre avec l’Iran, beaucoup d’entre eux portaient les affiches "Iraniens, on vous aime".

     

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  • Répression anti-kurde: L'Union européenne doit cesser de se taire

     

    Deux eurodéputés ont dénoncé la répression violente des festivités de Newroz, appelant L'Union européenne à cesser de se taire et dénoncer les dérives autoritaires du gouvernement turc.

    La députée européenne "Front de gauche" Marie Christine Vergiat et le député européen "Die Linke" Jürgen Klute ont dénoncé le 21 mars dans un communiqué la répression violente des festivités de Newroz, nouvel an kurde.

    « Malgré l'interdiction par les autorités turques faites aux Kurdes de célébrer Newroz (la fête du printemps), dès le 18 mars, des milliers de personnes se sont retrouvées dans la rue dans de nombreuses villes y compris à Istanbul. Plus d'un million de personnes étaient présentes rien qu'à Diyarbakir » rappellent les deux députés.

    « Face à ces célébrations populaires pacifiques, le gouvernement turque a réagi par une violence inouïe.

    Haci Zengin, responsable du BDP pour l’arrondissement d’Arnavutkoy est décédé après avoir été frappé à la tête par une grenade lacrymogène. De nombreux blessés sont dans un état grave. Parmi les nombreuses personnes hospitalisées, on compte deux députés du BDP, Mulkiye Birtane (que nous avions récemment accueillis en France), et Ahmet Turk (âgé de 70 ans). Un autre député, Ertugul Kurkcu a été tabassé par la police à Mersin. Plusieurs centaines de personnes ont été placées en garde à vue.

    Les autorités turques mènent une politique de plus en plus répressive. Actuellement 9 000 personnes, dont 6 députés, 31 maires, 183 dirigeants du BDP, et au delà des Kurdes, tous ceux qui osent dénoncer le comportement attentatoires aux libertés des autorités turques subissent le même sort : 96 journalistes, 36 avocats, de nombreux syndicalistes, défenseurs des Droits de l'Homme, étudiants, … et près de 2 000 enfants, sont actuellement en prison.

    L'Union européenne doit cesser de se taire et dénoncer les dérives autoritaires du gouvernement turc.

    Confrontés de plus en plus fréquemment à des violations patentes des droits de l'Homme, les kurdes et tout ceux qui les soutiennent ont plus que jamais besoin du soutien de tous les démocrates, et de toutes celles et tous ceux qui se battent pour le respect des droits de l'Homme.

    Face au mur du silence auquel ils sont confrontés de nombreux Kurdes à travers l'Europe ont entamé une grève de la faim pour dénoncer l'oppression croissante dont ils sont victimes.

    Nous ne pouvons laisser leur appel désespéré sans réponse. »  (Blog de Maxime Azadi avec ActuKurde)

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  • article sur OWNI, documents inédit et carte interactive:

    Révéler les mémoires d’Algérie

    En marge de l’histoire officielle, telle que les États la racontent, El Watan et OWNI sont fiers de vous présenter Mémoires d’Algérie, un pont mémoriel entre Alger et Paris pour présenter dans leur réalité, à travers des milliers d’archives, sur cette guerre. Guerre de libération, guerre civile ou guerre tout court, selon les protagonistes, devenus cinquante ans après, les narrateurs.

    Le site que nous avons conçu ensemble, memoires-algerie.org, est le résultat d’une intention commune réunissant journalistes algériens et français, travaillant main dans la main, pour proposer un outil de connaissance sans compromis, et cependant soucieux de dignité et porteur de réconciliation. Un espace de mémoire, pour que les peuples mesurent en toute indépendance la part de cynisme et d’incompréhension qui les a précipités dans la même tragédie.

    Un partenariat pour explorer cet épisode de notre histoire commune, en mettant à la disposition des citoyens algériens et français des archives pertinentes, dont la plupart n’ont jamais été publiées et dont un nombre important est classifié.

    Documents inédits

    Plusieurs mois d’un travail réalisé à Paris et à Alger nous ont permis de rassembler ces milliers d’archives qui enrichiront progressivement ce site, provenant, notamment, de l’ex secrétariat aux affaires algériennes et du ministère français de la Défense, mais aussi des centaines de documents personnels, de lettres, de témoignages de la population algérienne, et une grande quantité de photos privées prises par les témoins de cette guerre.

    Une quinzaine de personnes ont rendu cette aventure éditoriale possible. Ainsi, l’étroite coopération entre nos deux réactions a été au quotidien animée par Mélanie Matarese, Adlène Meddi, Pierre Alonso et Julien Goetz. Le recueil, la vérification des documents et leur mise en perspective ont été assurés par Nassima Amarouche, Rodolphe Baron, Marie Coussin, Lila Hadi, Djouher Si Mohamed, Sabiha Ouakli, Tassadite Saada et Nacéra Saoudi. Tandis que le site a été fabriqué par Anne-Lise Bouyer, Julien Goetz, James Lafa, Abdélila El Mansouri et designé par Marion Boucharlat.

    N.B : Certaines des pièces que nous mettons en ligne témoignent de sa barbarie banalisée. Dans de tels cas, à chaque fois que cela nous a paru nécessaire, nous avons occulté des noms propres, le plus souvent pour protéger l’identité d’anciennes victimes d’actes de torture.


    Visitez l’application Mémoires d’Algérie sur memoires-algerie.org.
    Suivez le projet sur Twitter (@MemoireAlgerie) et Facebook

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  • http://www.rue89.com/rue89-presidentielle

    Famille, voisins, région : comment votent les Français

    Coauteur de « L'Invention de la France », le démographe Hervé Le Bras décrypte les ressorts du vote, notamment celui de la « France malade » qui vote FN.


    Capture d'écran du documentaire « Farrebique » de Georges Rouquier (1947) sur une famille de paysans de l'Aveyron

    C'était un temps où la droite française n'avait pas inventé le problème de « l'identité nationale ». On pouvait encore réfléchir à ce qui fonde la France sans se retrouver cerné par « l'islamophobie laïco-chrétienne » qui, selon l'expression des auteurs de « L'Invention de la France », caractérise le vide métaphysique du moment Sarkozy.

    Il y a trente ans, le livre des deux démographes Hervé Le Bras et Emmanuel Todd a ouvert des chemins inexplorés dans la compréhension du « génie national ». Leur atlas anthropologique et politique a permis de comprendre pourquoi dans certains coins on votait à droite, qu'on soit ouvrier ou patron, et pourquoi dans d'autres, on votait à gauche, qu'on soit ouvrier ou patron.

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