• si on veut manger, quand est-ce qu'on change?  quelques idées, à prendre ou  laisser.....

    http://blog.lefigaro.fr/legales/2011/12/cinq-idees-iconoclastes-pour-developper-les-pme.html


    Cinq idées iconoclastes pour développer les PME

    | 9 Commentaires

    Pierre Guimard propose quelques idées simples pour développer les PME. Cet entrepreneur a crée en 2006 Keley Consulting, un cabinet de conseil spécialisé dans le domaine d'internet qui emploie une quinzaine de consultants. Diplômé de l'Essec, il a débuté sa carrière chez Accenture puis au BCG. Pierre Guimard a collaboré pendant 5 ans au lancement de Fnac.com,




    pierre.jpgLes chiffres sont accablants. Les PME dynamiques peinent à se développer sur le sol français. Les sociétés de plus de dix personnes représentent ainsi 7,7% des entreprises en France contre 16,9% en Allemagne. Les conséquences pour l'économie française sont graves: chômage endémique, retard dans l'innovation, déséquilibre du commerce extérieur... On le sait, les PME françaises souffrent de plusieurs maux: le poids élevé des taxes, les contraintes administratives et légales trop lourdes, une difficulté de financement. Entrepreneur moi-même, je vis au quotidien ces difficultés. Parce que mon métier (conseil internet) me met en relation avec des sociétés étrangères, je sais aussi qu'il n'y a pas de fatalité à ces problèmes. Quelques idées simples, applicables même par temps de famine budgétaire, permettraient de changer la donne.




    • 1/ Créer un guichet unique par internet pour toutes les formalités.  

     Le système social français est un empilement invraisemblable de structures administratives. Cette machine coûte cher en temps et en argent aux entrepreneurs français. Or jusqu'à présent, les mesures pour développer l'administration électronique sont restées largement inefficaces en France. Chaque administration a en effet développé son propre système internet avec ses codes d'accès spécifiques et ses demandes d'information redondantes. Dans notre pays, Kafka a survécu au Web. L'approche intelligente serait de créer un guichet électronique unique par internet tout en développant un système de connectivité avec les logiciels de gestion et les banques.L'économie pour une PME se chiffrerait en dizaine de milliers d'euros par an pour les administrations en milliards. Technologiquement simple, cette mesure ne nécessite qu'un peu de volontarisme et de vision.

     

    • 2/ Imposer la portabilité bancaire pour réveiller les banques.

     Les banques françaises n'aiment pas assez les PME. Le cliché n'est pas gratuit et correspond à une réalité vécue au quotidien. Le problème de fond est que l'industrie bancaire est devenue une pseudo-administration, protégée par un coût de transfert considérable. On change difficilement de banquier car c'est long, coûteux et risqué (risque d'un rejet de paiement par exemple). L'absence de concurrence réelle conduit comme toujours à un service de mauvaise qualité. A l'instar de ce qui a été fait pour la téléphonie mobile, il faudrait permettre à un client de changer de banque par un simple courrier. Les banques auraient ensuite pour charge d'assurer un transfert des prélèvements, cartes et autres services. Dans ces conditions, on verrait se développer une vraie concurrence avec un service aux entreprises amélioré.

     

    •   3/ Faciliter le licenciement pour les PME ( et créer des centaines de milliers d'emplois).

     "Un employé, c'est une caisse de dynamite", me disait un entrepreneur. Cette formule est choquante mais vraie. Un procès au prud'homme peut faire basculer une entreprise dans le rouge, voire dans la précarité. Beaucoup d'entrepreneurs brident donc leur croissance car engager du personnel est cher et dangereux. En France, dans une PME, on ne recrute que si on est vraiment sûr.

    Sur ce point, la concurrence entre les grandes et les petites entreprises est déloyale. Alors que les premières sont dotées de juristes et de DRH, l'entrepreneur est désespérément seul face à la difficulté légale et administrative. Il ne peut pas non plus former et reclasser les employés qui ne conviennent pas à leur poste. Si on ne peut pas agir sur le taux de charge sur les salaires ( un triste record mondial), il est possible de diminuer le risque de la PME. Pour les entreprises de moins de 50 personnes et pour les nouveaux emplois créés, il faut réduire la période de préavis à 1 mois et élargir les motifs de licenciement. Ce discours n'est pas anti-social bien au contraire. Dès qu'on libérera les entrepreneurs de l'épée de Damoclès que chaque employé fait peser sur eux, des centaines de milliers d'emplois vont se créer dans les PME en France. Sans subvention, ni bureaucratie.

     

    • 4/ Imposer un quota de PME dans les marchés publics. Ma société ne répond qu'exceptionnellement aux appels d'offres publics.

      Ces compétitions sont très coûteuses en temps mais surtout, nous savons que les administrations frileuses par nature, préfèrent souvent travailler avec des sociétés établies depuis longtemps. Un "small business act", à l'instar du modèle américain, pourrait inciter l'état et les collectivités locales à faire confiance aux PME. Sans surcoût pour le budget, la dépense publique viendrait ainsi irriguer la croissance de nombreuses entreprises. A court terme, il faudrait aussi simplifier les formalités liées aux appels d'offres publiques. Pourquoi par exemple continuer à demander un extrait Kbis ou des certificats prouvant qu'on est en règle avec l'Urssaf? Ces informations devraient être disponibles en ligne.

     

    • 5/ Envoyer les élèves de l'ENA en stage dans une PME.

     Notre pays, on le voit, est majoritairement organisé pour les grandes entreprises. Cette situation s''explique probablement par le fait que notre élite administrative méconnaît les PME. Une action simple et sans frais pour le budget serait d'imposer un stage en PME de moins de 20 personnes à chaque élève de l'ENA. A terme, peut-être pourrions-nous par cette mesure diminuer la bureaucratie en sensibilisant nos hauts fonctionnaires qui en sont pour une bonne part responsable.

     Personnellement, un stagiaire énarque pourrait m'aider à régler mes problèmes avec le RSI, la sécurité sociale des gérants, légendaire pour son service désastreux.Après un déménagement de mon siège social d'un kilomètre, j'ai été affecté à deux caisses différentes. Ce qui m'a valu des appels de cotisation en double. Il m'a fallu deux ans d'efforts acharnés pour obtenir une régularisation de ma situation et échapper aux menaces d'huissiers.    

     

     

     

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  •  

    Emmanuel Todd sur RMC/BFM TV ven, 09/12/2011

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  • ARTICLE A LIRE SUR http://www.rue89.com/2011/12/06/soupcons-de-corruption-sur-le-pentagone-de-sarkozy-227295

     

     

    Le chantier-phare du quinquennat de Nicolas Sarkozy pourrait se transformer en « affaire » d'envergure, apprend-on dans Le Canard enchaîné du 7 décembre : depuis février, un juge d'instruction enquête sur des soupçons de corruption et de favoritisme dans l'attribution du marché du « Pentagone français » au groupe Bouygues.

    Soupçons de corruption sur le « Pentagone » de Sarkozy

    Ce marché pharaonique –3,5 milliards d'euros en partenariat public-privé–, le groupe de Martin Bouygues, un des plus proches amis de Nicolas Sarkozy, l'a obtenu fin 2010 au détriment de deux autres groupes français, Vinci et Eiffage. Il s'agit de relocaliser, d'ici à 2015, tous les services du ministère de la Défense à Balard, dans le XVe arrondissement de Paris.

    « Un partenariat ripoux-bétonneur »

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  • extraits:

    • Face à la recrudescence des arrêtés anti-mendicité, des associations veillent au respect du droit et des valeurs démocratiques. C'est le cas de La Ligue des droits de l'homme, d'Emmaüs ou encore de Droit au Logement.
    • « Il ne faut pas faire la guerre aux pauvres, mais à la pauvreté. » Gageons que la pensée de l'abbé Pierre finisse par lui survivre et soit un jour enfin entendue.

    article du site http://www.rue89.com

    Frederic Troilo
    Archiviste et historien en recherche d'emploi
     

     

     

     


    Des personnes passent devant un SDF dans une cabine téléphonique à Paris, le 5 novembre 2011 (Eric Gaillard/Rue89)

    En 2009, la pauvreté a encore progressé en France et toucherait, selon l'Insee, plus de 8 millions de Français. Depuis, de nombreux indicateurs laissent penser à une aggravation de la précarité, comme l'annoncent de nombreuses associations caritatives.

    Parmi les plus démunis figurent les mendiants et les SDF qui sont régulièrement concernés par des mesures répressives. C'est ainsi que ces dernières semaines, des communes ont décidé de résoudre le problème de l'exclusion en recourant à des arrêtés anti-mendicité.

    Au XIXe siècle déjà, les mendiants et les sans-domicile fixe dérangent par leur visibilité dans l'espace public et subissent périodiquement les foudres des autorités. Aujourd'hui encore, le traitement des exclus n'est pas dénué d'apports ou de visées idéologiques. En ce début de XXIe siècle, la question sociale reste centrale. Mais le débat aura-t-il réellement lieu ?

    La crise, terreau favorable

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  • .....article à lire sur: http://www.rue89.com/rue89-eco


    Une poche vide (stuartpilbrow/Flickr/CC)

    (De Boston) L'économie américaine est à nouveau minée par un problème de dette. Cette fois-ci, ce sont les étudiants qui sont directement visés, avec une dette globale de mille milliards de dollars en 2010.

    C'est le chiffre que donne la réserve fédérale new-yorkaise pour la dette issue des prêts bancaires des universitaires : un record.

    Selon le College Board, un groupe d'intérêt des universités, les étudiants empruntent deux fois plus qu'il y a dix ans (taux d'inflation inclus).

    Une situation qui ne peut que s'aggraver : aux Etats-Unis, la plupart des étudiants doivent financer eux-mêmes leurs études et le coût de l'éducation continue à fortement augmenter. Sans autre choix que de cumuler des crédits pour paradoxalement assurer leur avenir, ils peuvent s'endetter pour plusieurs dizaines de milliers de dollars chaque année.

    Pas le droit à l'erreur

    Cette spirale est d'autant plus intenable que les étudiants doivent commencer à rembourser leur emprunt une fois le diplôme obtenu. Cela quelles que soient les difficultés que peut rencontrer le débiteur.

    Même en cas de faillite personnelle, cette dette ne s'efface pas, contrairement aux autres types de dette. Alisa Cunningham, chercheuse à l'Institute for Higher Education Policy à Washington, confie :

    « Les conséquences sont tellement graves que les étudiants n'ont pas le droit à l'erreur. »

    Or, avec un taux de chômage avoisinant les 9% aux Etats-Unis, de nombreux diplômés ne peuvent pas rembourser leur emprunt. En 2009, 8,8% d'entre eux étaient en défaut de paiement contre 6,7% deux ans plus tôt.

    Le pire marché de l'emploi

    Un business juteux et sur le long terme pour les organismes de crédit qui n'a pas échappé à certaines universités : elles sont de plus en plus nombreuses à développer des entreprises rentables de prêts sur le dos des étudiants.

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  • article donnée sur http://www.rue89.com/rue89-eco  à lire sur Bilan.ch  

    Bombe à retardement à la Bank of America ?Partager l'article sur Facebook

    Pendant que l'Italie et la Grèce faisaient la une des médias, une banque américaine présentait une facture de risques plus importante que celle des deux pays réunis : Bank of America Merrill Lynch, analyse le site suisse Bilan.ch.

    Il ajoute :

    En effet, trois ans après avoir bénéficié d'un sauvetage de 45 milliards de dollars, BofAML, dont la note de crédit a été rétrogradée par Moody's le 21 septembre, a dû trouver rapidement, avec les régulateurs, une solution face à l'explosion des risques de son portefeuille de dérivés. Jusque-là, officiellement, on considérait que BofAML et Citigroup avaient remboursé au Trésor l'intégralité des prêts qu'il leur avait consentis en catastrophe en 2008, et ce avec intérêts. Et officiellement, on considérait que les banques américaines avaient passé avec succès les « stress tests » (tests de résistance) de l'administration Obama en février 2010. Mais depuis 2011, les risques posés par les contrats de dérivés émis par la banque d'affaires (Merrill Lynch) n'étaient plus adéquatement couverts.

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  • ARTICLE 0 VOIR SUR http://www.etymon.fr/

     

     

    Etymôn soutient les créateurs d’activités économiques

    L’objet d’Etymôn est de soutenir la création et le développement d’activités économiques, notamment dans les domaines de l’utilité sociale et environnementale. Pour accompagner les entrepreneurs solidaires Etymôn anime et développe également un réseau d’entrepreneurs.







    Tous les projets
    Par ordre alphabétique

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  • INVITATION

     

    Venez co-construire le monde que vous souhaitez

    Apéro de créativité citoyenne organisé par SOLIDEES

    Dans le cadre du mois de l'économie sociale et solidaire, Solidées sera présent pour un Apéro Co-Créatif exceptionnel !

    En effet, une fois encore, nous innovons : Solidées part à la rencontre des publics de la cité et de l'agglomération toulousaine.

    Pour cette 5 ème édition des Apéros Co-Créatifs, nous serons accueillis par l'Association 2bouts :

    Mardi 8 novembre 2011 à 19h00
    Salle Friture
    22 place du salin
    31000 Toulouse

    + d'infos

    Comment s'y rendre 

    A propos de Solidees

    Association innovante de co-création et de partage d'idées, Solidées soutient le développement d'activités économiques ou culturelles, sociales, solidaires et responsables.

    Ce projet est à l'initiative de membres du rézo.entrepreneurs & solidaires créé et animé par l'association Etymôn www.etymon.fr

    www.solidees.org
    contact@solidees.org

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  •   article à voir sur: http://www.lasemaine.org 

     Mois de l'Economie Sociale et Solidaire  

    Mois de l'Economie Sociale et Solidaire

    « DEVENEZ ACTEUR DE CHANGEMENT ».

    En novembre, découvrez 1 500 façons d’exercer votre pouvoir. Inutile d’enfiler la cape pour devenir un héros du quotidien. En novembre, découvrez 1500 occasions de rencontrer les acteurs qui ont le pouvoir de changer l’économie. Et si l’envie vous prend, peut-être déciderez-vous de les rejoindre…

     

    • Portez un autre regard sur le monde avec Ecollywood, festival du film citoyen et solidaire, à Lille. 
    • Formez-vous à l’achat responsable en région parisienne.
    • Inscrivez-vous à un « speed-meeting » d’accompagnement à la création d’entreprise en Bourgogne.
    • Apprenez à réaliser des économies d’énergie à Cagnes-sur-Mer.
    • Rendez-vous au Forum de l’Emploi Responsable à Lyon...

     

     

    PLUS DE 1 500 EVENEMENTS EN FRANCE

    En Novembre, des milliers d’acteurs de changement se mobilisent pour vous faire découvrir une autre économie, cette économie qu’on appelle sociale et solidaire, une économie démocratique, responsable et respectueuse de l’Homme. Au programme : trouver un job utile, consommer Bio, agir collectivement, épargner solidaire, entreprendre autrement, se déplacer écolo,  vivre ensemble,  acheter responsable, se protéger mutuellement. 1500 solutions pour vivre votre quotidien autrement.

    3 raisons d’y participer :

    • Participer au Mois, c'est rejoindre des femmes et des hommes qui bâtissent un monde plus solidaire ;
    • Participer au Mois, c’est refuser la crise comme une fatalité ;
    • Participer au Mois, c'est trouver des solutions pour mieux vivre ensemble et construire un autre développement.

    Parce que les personnes, l’économie et la société valent bien plus que des capitaux, Le Mois est  là pour vous donner un rôle  à la mesure de vos valeurs, de vos disponibilités, de vos compétences, de vos moyens. Vous aussi, devenez un héros du quotidien. N’attendez pas…

    Le mois de l’Economie Sociale et Solidaire est organisé par les Chambres Régionales de l’Economie Sociale et Solidaire (CRESS).

    Pour en savoir + :
    www.lemois-ess.org

        Partenaires

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  • Attac et les Amis de la Terre passent au crible les pratiques de dix banques

    LEMONDE.FR | 03.11.11 |

     article du journal Le Monde http://www.lemonde.fr/economie/
     

     

    Les deux associations dénoncent l'inertie des pouvoirs publics face aux dérives des systèmes bancaire et financier.

    Les deux associations dénoncent l'inertie des pouvoirs publics face aux dérives des systèmes bancaire et financier.AFP/ANNE-CHRISTINE POUJOULAT

    A la veille de la clôture du G20, qui se tient à Cannes jeudi 3 et vendredi 4 novembre, et alors que la zone euro connaît une crise sans précédent, les organisations altermondialistes Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne) et les Amis de la Terre ont publié un rapport dit de "notation citoyenne" sur dix banques opérant en France:

    BNP Paribas, Banques Populaires-Caisses d'épargne (BPCE), Crédit agricole, Crédit coopératif, Crédit mutuel-CIC, Dexia, HSBC, La Banque postale, La Nef et la Société générale.

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  •  

    article du site: http://www.audit-citoyen.org/


    Signez l’appel pour un audit citoyen de la dette publique !

    Écoles, hôpitaux, hébergement d’urgence, retraites, chômage, culture, environnement… nous vivons tous au quotidien l’austérité budgétaire et le pire est à venir. « Nous vivons au-dessus de nos moyens », telle est la rengaine que l’on nous ressasse dans les grands médias. « On n’a pas le choix, il faut rassurer les marchés financiers ».

    Nous refusons ces discours culpabilisateurs. Nous ne voulons pas assister en spectateurs à la remise en cause de tout ce qui rendait encore vivables nos sociétés, en France et en Europe.


    Pour un audit citoyen de la dette !

    LA PETITION

    CONTEXTE

     

     



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  • CITATION ce l'article trouvé sur : https://plus.google.com/u/0/111604005610850848205/posts/P5Kxe8S4Ztp

    Stan samedi 22 octobre 2011 12:42

    • - défaut partiel / restructuration de la dette de tous les pays (celles-ci étant de de toute façon insoutenables et leurs remboursements ne fera qu'enrichir ceux qui sont déjà plus riches)

      - instauration de quotas de création monétaire à chaque pays de la zone euro (d'environ 5% max de la masse monétaire de chaque pays) permettant aux gouvernements de se financer auprès de la BCE

      - instauration de l'allocation universelle permettant de simplifier l'administration fiscale et sociale, et ainsi d'avoir un service publique plus efficient et dont les budgets sont davantage maitrisables.

      - En ce qui concerne les banques, il faut transformer les créances obligataires des banques en capital (opération dite de "bail-in") afin de consolider le bilan des banques. En cas de défaillance, les refinancements de la BCE seront considérés comme du capital, justifiant ainsi la mise sous tutelle des banques par les pouvoirs publiques, à titre gratuit.

      - Diminution globale et progressive des effets de leviers des banques jusqu'à transiter vers un système de réserves pleines. Libéralisation des règlementations bancaires afin de permettre à de nouveaux acteurs bancaires d'émerger (notamment les acteurs du P2P lending / prêt entre particuliers).

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  • Rue89: Les banquiers et traders de Wall Street, potentiels « indignés » ?

    Article original: http://www.rue89.com/2011/10/19/les-banquiers-et-traders-de-wall-street-potentiels-indignes-225692

    Provocation, mépris, conciliation : les travailleurs de Wall Street jettent un regard mitigé sur les « indignés » du mouvement « Occupy Wall Street ».


    Un « indigné » porte une veste avec un écusson « Occupy Wall Street » à Zuccotti Park, près de Wall Street, le 19 octobre 2011 (Lucas Jackson/Reuters)
     

     

    (De New York) Face aux indignés d’« Occupy Wall Street », le monde de la finance a offert plusieurs visages :

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