• Areva en Afrique, à paraître en février 2012

    Une face cachée du nucléaire français

    16 novembre 2011 par Raphaël Granvaud
    Thèmes

    Contrecarrant « le mythe de l’indépendance énergétique de la France grâce au nucléaire », puisque l’uranium alimentant le nucléaire civil et militaire provient depuis longtemps et pour une large part du sous-sol africain, Raphaël Granvaud détaille les conditions dans lesquelles la France et Areva se procurent un uranium au meilleur coût, au prix d’ingérences politiques et de conséquences environnementales, sanitaires et sociales catastrophiques pour les populations locales.

    suite sur: http://survie.org/


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  •  

    Solidarité via bambuser,  twitter et google doc

    site global voices: traduction en 18 langues , dossier rassemblant tous les posts depuis le début de la révolution en Egypte.

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  •  article du site http://www.lemonde.fr/proche-orient/

    EXTRAIT:

    On trouve un peu toutes les classes sociales et toutes les opinions politiques sur la place Tahrir. Surtout qu'il n'y a pas que sur la place Tahrir que des manifestations se déroulent, plusieurs grandes villes de province sont agitées par des troubles : d'Assouan, à l'extrême sud, à Alexandrie sur la Méditerranée, en passant par Assiout, Suez et plusieurs villes du delta. Les manifestants sont plutôt une sorte d'avant-garde de la société égyptienne." (Christophe Ayad/Le Monde)

     

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  •    Une bataille décisive se déroule actuellement face à une offensive répressive potentiellement fatale. Ces trois derniers jours, l’armée a lancé une attaque sans relâche contre les révolutionnaires de la place Tahrir et des autres places égyptiennes. Plus de 2000 d’entre nous ont été blessé-e-s, plus de 30 d’entre nous assassiné-e-s; tout cela seulement au Caire, et uniquement dans les 48 dernières heures.


     

    Mais les révolutionnaires continuent d’affluer. Des centaines de milliers se trouvent sur la place Tahrir et dans les autres places du pays entier. Nous affrontons leurs gaz, leurs matraques, leurs fusils et leurs mitrailleuses. L’armée et la police attaquent toujours et encore, mais nous continuons à tenir et à les repousser. Les mort-e-s et les blessé-e-s sont évacué-e-s à pied ou à moto, et d’autres prennent leur place.

     

    La violence ne fait faire qu’augmenter, car NOUS NE BOUGERONS PAS. Les généraux ne veulent pas abandonner leur pouvoir. Nous voulons qu’ils partent.

     

    C’est le futur de la révolution qui se joue: celles et ceux qui sont sur les places sont prêt-e-s à mourir pour la liberté et la justice sociale. Les bouchers qui nous attaquent sont prêts à nous tuer pour rester au pouvoir.

     

    Ce qui se passe n’a aucun rapport avec les élections ou une éventuelle constitution, puisque rien de tout ça ne ferait cesser la violence et autoritarisme qui nous entourent. Ce qui se passe n’a pas non plus à voir avec une soi-disant « transition » vers une démocratie qui a vu le renforcement d’une junte militaire et la trahison de la révolution par les forces politiques. Il s’agit ici d’une révolution, d’une révolution totale. Le peuple veut la chute du régime, et ne s’arrêtera pas avant d’avoir trouvé sa liberté.

     

    Les gouvernements étrangers parlent de « droits humains » tandis qu’ils négocient avec les généraux, échangeant des poignées de mains et les légitimant avec des discours creux. Les États-Unis fournissent toujours 1,2 milliards de dollars d’aide militaire à l’armée égyptienne. L’armée et la police utilisent du gaz lacrymogène, des balles et des armes venant de l’extérieur. Leurs réserves ont probablement été reconstituées par les États-Unis et par d’autres gouvernements durant les neuf derniers mois. Elle vont s’épuiser à nouveau.

     

    Nous vous demandons d’agir:

     

    • Occupez ou bloquez les ambassades égyptiennes du monde entier. Elles représentent actuellement les militaires: faisons-les représenter le peuple égyptien.
    • Bloquez les vendeurs d’armes. Ne les laissez pas en fabriquer et en vendre.
    • Bloquez votre institution gouvernementale traitant avec les généraux égyptiens.

     

    La révolution continue parce qu’elle est notre seule possibilité.

     

    Place Tahrir, le 22 novembre à 14h

     

    Mosireen, Comrades from Cairo, Defend the Revolution

     

    [mise à jour] Alain Gresh a, comme souvent, un bon article sur la situation actuelle: Révolution égyptienne, acte II

     

    [mise à jour (24/11/11)] Apparemment, les gaz utilisés en ce moment en Égypte seraient carrément costauds, voire même plus léthaux et militaires que lacrymogènes. Le ministre égyptien de la Santé, Amr Helmy a nié que les gaz soient autre chose que des lacrymos dans sa visite d’hier sur la place Tahrir, mais il a par contre admis que des balles réelles avaient été tirées par la police sur les manifestant-e-s. Ah oui, et je tiens à préciser que je ne suis, bien évidemment, pas l’auteur de ce texte, que je n’ai fait que traduire par solidarité envers les camarades égyptiens qui l’ont envoyé. Un commentaire laissé sur la page m’a fait penser qu’il y avait peut-être ambiguïté, vu que d’habitude, je signale mes traductions.

     

    Un récit de ces derniers jours place Tahrir, avec photos: Le roi est nu.



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