• http://reflets.info/amesys-kadhafi-augmented/

    Amesys : Kadhafi augmented 6 décembre 2011

    Par bluetouff

      Y'a comme une c%$#@& dans vos dates monsieur Amesys....

    Amesys : Kadhafi augmented

    6 décembre 2011
    Par

    Y'a comme une c%$#@& dans vos dates monsieur Amesys....

    C’est une première sur Reflets.info, nous nous lançons dans le journalisme augmenté, tout ça à cause d’une vidéo publiée sur France TV, dans laquelle Bruno Samtmann, le directeur commercial d’Amesys, nous explique que si son entreprise a vendu un système d’écoute global à Kadhafi, c’est surement pour traquer du pédophile, du psychopathe, du nazi, ou du trafiquant de drogue Libyen… peut être même un mélange de tout ça. Donc pour bien tout civiliser l’Internet Libyen, Amesys a vendu en 2006 un système d’écoute à Kadhafi??? logique… on était pote avec Kadhafi en 2006, il était sympa à cette époque Muammar non ? Ah non ?  Oh WAIT !

    Un peu d’histoire :

    REVISIONNONS DONC MAINTENANT

    CETTE VIDEO

     

     

     

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  • citation: "[...] Reflets, Owni et le Wall Street Journal, ont mis un point d’honneur à démontrer que les armes électroniques vendues par Amesys/Bull, que l’on récompense à coup de subventions du fonds stratégique d’investissement ou que l’on décore de la légion d’honneur, ont bien été utilisées contre l’ensemble de la population libyenne. Quand on écoute le directeur commercial d’Amesys qui déclarait ne pas être intervenu dans cette vente alors qu’il est l’auteur de la proposition commerciale, on devine qu’il y a comme un petit malaise. Ce dernier nous expliquait que ses outils étaient fait pour traquer le terroriste et le pédophile. C’est probablement pour ça qu’ils étaient dimensionnés à l’échelle de l’ensemble de la population.[...]"

     

    http://vimeo.com/40359433

     

     

     

     

    Sarkozy et Kadhafi : petite note de service à nos amis journalistes

    19 avril 2012
    Par

    Les bombes ne sont pas toujours nucléaires

    « S’il y a bien un chef d’Etat qui, dans le monde, n’a pas frayé avec M. Kadhafi et est responsable de son départ et de ce qu’il lui est arrivé, je pense peut-être que c’est moi« . Nicolas Sarkozy , 17 avril 2012.

    <subliminal>Il y a quelques jours, Reflets diffusait une vidéo relatant les 3 étapes majeures du voyage de Saadi Kadhafi en France en 2006. Ce document est par nature un document exceptionnel, particulièrement au lendemain de la tentative de réécriture de l’histoire par le candidat Nicolas Sarkozy qui a déclaré ne jamais avoir essayé de vendre une centrale nucléaire en Libye et allant jusqu’à évoquer une usine de dessalement d’eau de mer.

    La vidéo que nous vous avons proposée, ne contenait pas de mention « exclusif » comme c’est la règle dans la profession. Pourquoi ? Parce que cette règle, nous la trouvons idiote et nous la laissons à quelques piranhas. Lorsque Reflets diffuse un document, il l’offre à Internet. Internet c’est vous tous. Il n’y a pas de droit d’exclusivité, nous ne vous vendons rien. Peut être devrions-nous, peut-être que le fait que nous fassions payer l’accès à ce genre de document apporterait du crédit ?

    En livrant au public cette vidéo, Reflets s’attendait à ce qu’au moins un média, peut être deux, reprennent ce document qui montre tout de même une ou deux perles. Reflets s’attendait à ce que la presse dotée de plus gros moyens d’investigation que les siens s’intéresse à ce que Panhard et Thalès ont fini par vendre à Saadi Kadhafi. Celui-ci n’a t-il signé que le livre de d’or de Thalès ?

    Reflets, Owni et le Wall Street Journal, ont mis un point d’honneur à démontrer que les armes électroniques vendues par Amesys/Bull, que l’on récompense à coup de subventions du fonds stratégique d’investissement ou que l’on décore de la légion d’honneur, ont bien été utilisées contre l’ensemble de la population libyenne. Quand on écoute le directeur commercial d’Amesys qui déclarait ne pas être intervenu dans cette vente alors qu’il est l’auteur de la proposition commerciale, on devine qu’il y a comme un petit malaise. Ce dernier nous expliquait que ses outils étaient fait pour traquer le terroriste et le pédophile. C’est probablement pour ça qu’ils étaient dimensionnés à l’échelle de l’ensemble de la population.

    De quoi avoir froid dans le dos quand on lit ce genre de phrase dans un mémorandum d’accord officiel franco libyen : « Coopération dans le domaine des applications pacifiques du nucléaire« . Le Eagle d’Amesys était lui aussi, soit disant vendu pour ses applications d’utilisation bisounours gentil gentil, et il a fini par traquer méchamment tout opposant, même hors des frontières libyennes.

    C’est dans ce contexte préalable à la vente inconsidérée de jouets de mort à la Libye que s’inscrit la vidéo que nous avons diffusée. Nous vous rappelons à tout hasard, que cette vidéo date de 2006.

    Vous situez ?

    2006… avant la présidentielle de 2007

    2006… au coeur de la période d’hyperactivité de Ziad Takieddine

    Allez, amis journalistes, un petit effort, lisez cet article, et surtout, regardez bien la vidéo.

    Les liens de commerce pour les armes, la guerre électronique ou le génie civil ne sont plus à prouver, mais il reste quelques zones d’ombre qui ne sont pas inintéressantes pour qui saura taper aux bonnes portes.</subliminal>

    Billets en relation :

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  • ça bouge!  je tombe sur trois articles sympas qui donnent des indices sur le vrai visage du nucléaire français

    1) AREVA & TOTAL 3 - Ben Moubamba dénonce le Racisme Géopolitique


     

     

     

     


    2) LA BOMBE:

    Sarkozy, Kadhafi et le nucléaire : l’ex-patronne d’Areva balance

    Anne Lauvergeon, débarquée de la présidence d’Areva en juin 2011, se lâche dans un entretien à L’Express. Contre son grand rival Henri Proglio, patron d’EDF, mais aussi contre Nicolas Sarkozy, qui aurait envisagé de vendre un réacteur nucléaire au colonel Kadhafi.

    Ancienne collaboratrice de François Mitterrand, elle avait été nommée à la tête de Cogema, le futur Areva, en 1999, par Dominique Strauss-Kahn. Ses liens avec le PS n’ont pas empêché Nicolas Sarkozy de lui proposer un ministère en 2007, « celui que je voulais », affirme-t-elle :

    « Il ne composait pas un gouvernement, il recrutait pour un casting ! Je remplissais nombre de cases : femme, monde économique, industrie, international, Mitterrand, moins de 50 ans... et Areva libérée. »

    Anne Lauvergeon avait préféré rester à Areva et garder la main sur la politique nucléaire française. L’arrivée d’Henri Proglio à la tête d’EDF a changé la donne. En 2010, Nicolas Sarkozy a arbitré entre les deux rivaux : désormais, le vrai patron du nucléaire, ce serait Henri Proglio.

    « De quoi nous aurions l’air maintenant ! »

    Fukushima avait laissé à Anne Lauvergeon l’espoir de rester en place : selon elle, cet accident nucléaire confirmait le bien-fondé de sa stratégie, notamment du choix controversé de l’EPR, un réacteur plus coûteux mais censé être plus sûr. L’Etat a préféré l’écarter, la remplaçant par son directeur général délégué.

    Aujourd’hui, Anne Lauvergeon accuse Nicolas Sarkozy d’avoir « laissé s’organiser un système de clan, de bandes et de prébendes » :

    « Saura-t-on un jour pourquoi le patron d’EDF a eu ainsi table ouverte à l’Elysée durant tout ce quinquennat ? [...] Pour se sentir aussi fort, il fallait bien qu’un axe d’airain se constitue, fait de politiques et d’intermédiaires afin de servir ses intérêts. »

    Selon l’ex-patronne d’Areva, ce « clan » envisageait « de vendre du nucléaire à des pays où ce n’est pas raisonnable », et notamment à la Libye de Mouammar Kadhafi :

    « Moi, qui aurais dû pousser à la vente, je m’y opposais vigoureusement, et l’Etat, censé être plus responsable, soutenait cette folie. Imaginez, si on l’avait fait, de quoi nous aurions l’air maintenant ! [...] Pourtant, quelle insistance ! A l’été 2010, j’ai encore eu, à l’Elysée, une séance à ce sujet avec Claude Guéant et Henri Proglio... »

    Anne Lauvergeon l’avait déjà admis dans Le Monde : elle « apprécie » François Hollande. Mais, promet-elle, ce règlement de comptes n’a rien à voir avec la présidentielle et les postes qui pourraient s’ouvrir à elle en cas de victoire de la gauche...

    3) Nucléaire: Un ancien technicien d'Areva dénonce le manque de sécurité à la Hague

     

     
    L'usine Areva de La Hague le 4 mars 2009

    L'usine Areva de La Hague le 4 mars 2009 Mychele Daniau AFP/Archives

    PLANETE - Guislain Quétel, retraité de l'usine Areva, affirme que les quatre piscines de la Hague; chargées du refroidissement des combustibles, sont très mal protégées...


    Trois mois après la catastrophe de Fukushima, un technicien retraité de l'usine Areva de La Hague a provoqué des remous cette semaine en se présentant publiquement devant une commission officielle pour dénoncer la sécurité «insuffisante» du site, un des plus riches en matières radioactive au monde.

    «La région ne doit pas être sacrifiée pour le bien être de la collectivité nationale», a lancé mercredi Guislain Quétel, 66 ans, dont 35 consacrés à la protection des salariés de La Hague contre les radiations.

    Le technicien a tenté de convaincre mercredi la commission locale d'information (CLI) du site, qui regroupe élus locaux, experts, syndicats et associations, de faire construire une «cathédrale de béton» contre les éventuels projectiles, par avion ou tir de mortier depuis la campagne environnante.

    L'équivalent de 100 réacteurs

    Tous les combustibles irradiés de France sont immergés dans les quatre piscines de La Hague avant d'être retraités par Areva. Or les installations «ne sont couvertes que par un simple bardage métallique», a argumenté le technicien, ancien syndicaliste CFDT.

    Les piscines contiennent l'équivalent en rejets radioactifs potentiels de 100 réacteurs, si un projectile explosif les atteint, «là, c'est pire que Fukushima» dit l'ancien radioprotectionniste.

    Par comparaison, sur le chantier voisin de Flamanville, où se construit le nouveau réacteur EPR et avec sa piscine pour immerger les combustibles dès leur sortie, «on nous parle d'une coque résistant à la chute d'un avion gros porteur», souligne Guislain Quétel.

    Surnommé le «curé de la radioprotection»

    Lors de la réunion de la CLI, le radioprotectionniste a parlé d'un ton parfois hésitant face à un public loin d'être acquis mais avec le verbe précis de l'orateur convaincu de connaître son sujet mieux que ses auditeurs.

    Son intervention publique a fait l'objet de «tergiversations», selon la présidence de la CLI.

    Le bureau chargé de l'ordre du jour lui a d'abord refusé la tribune et il a fallu que des membres de la CLI comme Greenpeace ou la chercheuse au CNRS Monique Sené envoient un courrier commun de protestation.

    «On a voulu m'interdire de parler par crainte que je ne fasse le jeu des antinucléaires», dit Guislain Quétel.

    Dans les années 90, ses prises de positions lui avaient valu le surnom de «curé de la radioprotection» au sein de l'entreprise. «Lorsque j'avais alerté le PDG de l'époque Jean Syrota puis évoqué ces questions dans un documentaire diffusé sur Canal +, j'ai été progressivement mis en quarantaine de la CFDT», raconte-t-il.

    «Des systèmes de refroidissement à l'air libre, ça interpelle»

    Parti en retraite en 2001, le technicien a décidé de renouer avec le militantisme après la catastrophe de Fukushima, poussé par «des amis comme Jean-Claude Zerbib» ancien ingénieur au Commissariat à l'énergie atomique (CEA) qui cosigne le résumé écrit de son exposé.

    Après son intervention devant la CLI, les élus locaux interrogés par l'AFP ont réagi avec mesure. «Quand on entend que les systèmes de refroidissement sont à l'air libre, ça interpelle», a simplement commenté le président de la CLI le conseiller général DVD Michel Laurent sans vouloir parler d'insuffisance.

    La CLI qui planche depuis Fukushima sur la sûreté du site doit formuler des questions ou des recommandations au second semestre.

    «Pas un scoop» pour Areva

    Côté Areva, le directeur adjoint Roland Jacquet s'est contenté de déclarer que l'exposé de Guislain Quétel n'avait «pas de scoop», comme il l'a dit à l'AFP après la réunion.

    Le groupe considère que la sûreté du site est assuré sans cathédrale de béton, car des dispositifs d'intervention notamment existent en cas de survol.

    En outre les combustibles irradiés qui arrivent à la Hague sont beaucoup moins chauds que ceux qui attendent à côté des centrales et Areva a plus de temps pour intervenir en cas de problèmes de refroidissement, selon les arguments officiels.

     

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  •  

    La courte vidéo que vous allez voir (3:55) est au sujet d'une île qui se trouve en plein océan Pacifique, à 2000 kms de toutes côtes.

    Sur cette île, il n'y a que des oiseaux, et pourtant...

    Regardez ce qui se passe !



    Ouvrez ce lien : http://www.midwayfilm.com

    Un petit film que tout le monde devrait voir et en tirer des conclusions...

     

    Midway de Chris Jordan, photos et vidéo à diffuser LARGEMENT


    L'ami qui m'a enoyé ceci nous suggèrait l'ancienne pratique Hawaïenne du Ho'oponopono et je ne peux que dire oui à cette forme de respect et de prise de consience.....à chacun de voir!


    Nous pouvons agir avec le Ho'oponopono

    Le Hoʻoponopono est une tradition de repentir et de réconciliation des anciens Hawaïens. Des coutumes identiques se retrouvent dans toute la région du sud du Pacifique. Le hoʻoponopono
    traditionnel était dirigé par un prêtre pour guérir les maladies physiques ou psychiques, il était fait avec des groupes familiaux. La plupart des versions modernes sont rédigées de telle façon que
    chacun puisse le faire seul. Aujourd'hui cette pratique consiste à visualiser la cause du probléme et sa guérison en soi , comme co-responsable et solidaire d'un groupe. La résolution est ainsi communiquée à toute la
    structure éthérique du groupe ou âme groupe, même si cette notion n'est pas encore reconnue pour le grand public, concernant l'humanité terrestre.

     

    Seuls quelques chercheurs la nomme "NOOSPHERE" ou conscience collective. Ce mot, développé par Pierre Teilhard de Chardin dans "Le Phénomène humain" a été inventé par Vladimir
    Vernadski . C'est la représentation d'une couche éthérique (ou grille électro-magnétique) de faible épaisseur entourant la Terre. Elle matérialiserait à la fois toutes les consciences de l'humanité
    et toute la capacité de cette dernière à penser, et donc à créer. 


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  • Suite à l'enfermement d'un non violent en HP:

    ........................Ben voilà, aujourd'hui on enferme un militant non violent, en HP , s'il vous plaît! Heu, ceci est une info de France, pas de Chine, non, vous ne rêvez pas: c'est en FRANCEque cela se passe et la Ligue Des Droits de l'Homme lance une pétition ! Même le psychiatre a demandé la levée de l'enfermement ( l'hospitalisation)  sous contrainte du gars en question!!!!

    Ca  semblerai presque drôle, sorti d'un épisode des "Visiteurs" mais la vie en HP c'est  hyper pénible et sans droit de sortir...On le sait pas ça, en FRANCE.
    ....voir détails ici , article de http://www.ldh-france.org/region/languedoc-roussillon/autoritaires/



    Hospitalisation sous contrainte d’un militant non violent… Refusons les dérives autoritaires !


    communique HO Jean Pascal

    Lundi 26 mars 2012, un militant défenseur de l’environnement s’est rendu à la mairie de son village vers 18 h, ayant appris que le maire de la commune avait demandé le déclassement de l’unique zone terrestre Natura 2000 du village.
    Il a alors entamé une action non violente dans les locaux de l’hôtel de ville en s’enchaînant à un puits.

    La gendarmerie intervient, et là, la machine administrative s’emballe.
    À l’appel du parquet, un médecin des pompiers soutenu par le maire décide de l’hospitalisation psychiatrique d’office.
     
    Résultat, Jean-Pascal se trouve à l’isolement à l’hôpital de la Colombière à Montpellier, depuis plus d’une semaine.

    La municipalité refuse toute information.
    La gendarmerie indique que l’action troublait l’ordre public et que le militant présentait un danger… pour lui-même.

    Au bout de 6 jours, il a enfin été possible de communiquer avec le militant qui confirme le caractère arbitraire de la mesure.
    D’ailleurs au huitième jour, le psychiatre demande la levée de l’hospitalisation sous contrainte.

    Le cas de ce militant révèle les dérives de la psychiatrisation envers la contestation, ce qui constitue une attaque grave aux libertés et aux droits sociaux.

    Le cas de ce militant met en lumière la nécessité de s’organiser partout en réseau pour dénoncer les dérives que représentent les « soins sécuritaires » et combattre ces mesures incompatibles avec l’Etat de Droit.

    Nous demandons au Préfet d’intervenir dans les plus bref délais pour faire cesser cette privation de liberté.

    Nous appelons chacun et chacune
        à signer l’appel contre les soins sécuritaires : http://www.maiscestunhomme.org
        à constituer des collectifs « contre les soins sécuritaires »
    •    à s’organiser localement pour créer des réseaux de citoyens, d’avocats, de psychiatres (…)
    pour lutter contre ces pratiques abusives et liberticides et soutenir les personnes qui sont victimes.

    Le Collectif citoyen pour la libération du militant écologiste Jean- Pascal,
    LDH Loupian, LDH Languedoc Roussillon,


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