• Je diffuse donc l'article sur Saamiya la Somalienne , cette marathonienne qui a fait battre les coeurs et qui a montré l'exemple aux JO de Pékin et qui s'est noyée dans une barque en essayant de rejoindre l'Italie.

    Ici aussi je tiens à diffuser cet article rendant hommage à Gaye Silly SOUMARE. Le récit des travaux de ce  diplomate qui s'est éteint cet été nous donne un exemple d'une réalité qui n'apparait pratiquement jamais dans nos médias, alors que c'est  en Afrique aussi les 99pourcent!!!

     Aussi en tant que française je tiens à , chaque fois que je le peux, diffuser tout texte témoignant que la vision de l'occident et des médias est souvent très obtue et erronée! Les "islamistes" sont très peu nombreux en rapport avec les islamiques. La politique occidentale a tôt fait de faire taire les vrais penseurs du coeur , ceux qui pouvaient désamorcer les jeux de pouvoir et de l'argent à tout prix.

    Je tiens à rappeller qu'ils sont encore là, ces êtres qui incarnent la tolérance, la sagesse et qui servent la fraternité humaine. Certains, comme  les Mauritaniens que je côtoie sont des musulmans qui n'ont rien avoir avec l'intégrisme religieux, mais alors ce qui s'appelle "rien"!

     

    Gaye Silly SOUMARE (1930 – 2012) Un acteur majeur de la construction nationale s’est éteint

    ARTICLE DE  http://www.boolumbal.org/Gaye-Silly-SOUMARE-1930-2012-Un-acteur-majeur-de-la-construction-nationale-s-est-eteint_a9448.html PAR
    Ciré BA et Boubacar DIAGANA – Paris.

     

    Gaye Silly SOUMARE (1930 – 2012) Un acteur majeur de la construction nationale s’est éteint

    Gaye Silly SOUMARE s’est éteint mercredi 18 juillet 2012 à Nouakchott dans l’indifférence presque totale. Pourtant, l’homme fut un des acteurs majeurs de la construction de la Mauritanie. Si les propositions relatives à la cohabitation nationale du comité paritaire qu’il a présidé en 1958, après le congrès d’Aleg, avaient été explorées et prises en compte par les politiques, notre pays aurait peut être fait l’économie des tragédies connues.

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  • article de  http://www.leparisien.fr/laparisienne/femmes-de-tete/le-tragique-destin-d-une-athlete-somalienne-24-08-2012-2135861.php  par Charlotte Anglade

    Saamiya Yusuf Omar, une athlète somalienne présente au Jeux de Pékin en 2008, est morte noyée en tentant de rejoindre l'Italie pour y préparer les JO de Londres. ( AFP )
     
     
       

    Le dossard 2895 n'avait pas marqué les esprits aux Jeux Olympiques de Pékin en 2008, finissant bon dernier au 200m. Pourtant, celle qui le portait avait ému. Saamiya Yusuf Omar était l'une des deux seules athlètes représentant la Somalie. Elle avait par ailleurs été désignée porte-drapeau de ce pays d'Afrique de l'est. « Cela a été très beau de défiler avec les meilleurs athlètes du monde », avait-elle répondu aux journalistes qui l'interrogeaient.

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  • Mauritanie : Une marche pour commémorer la mort d’un militant des droits civiques

    article sur http://actualutte.com/mauritanie-une-marche-pour-commemorer-la-mort-dun-militant-des-droits-civiques/

     

    Le mouvement de droits civiques “Touche pas à ma Nationalité” (TPMN) a appelé à une grande marche [anglais] le 27 septembre 2012, à Nouakchott, la capitale, pour commémorer la mort du militant anti-raciste Lamine Mangane. Lamine Mangane a été tué il y a un an par les autorités de la ville de Maghama lors de manifestations contre le recensement des citoyens noirs qui sont marginalisés en Mauritanie.

    En mémoire de Lamine Mangane

    Qui était Lamine Mangane ? Son père Moussa Abdoul Mangane se rappelle de son fils sur le blog Mauritanides :

    Lamine, âgé de 19 ans a été tué par balle pendant les manifestations contre l’enrôlement à Maghama. Nous avons déposé une plainte au tribunal de Kaédi afin que justice soit faite. Malheureusement, nous n’avons, jusqu’à maintenant, pas eu aucune réponse en retour. L’assassin de mon fils circule librement et ce, avec la complicité de nos appareils judiciaires. Il a même pour toute sanction, une affectation [..] A travers la mort de mon fils et les blessés à Maghama, suite aux manifestations contre l’enrôlement raciste, c’est une fois de plus la communauté négro-mauritanienne qui est brutalisée, blessée, meurtrie.

    Une vidéo par Siteflere donne plus d’informations sur Lamine Mangane et montre les manifestants il y a un an après qu’ils aient appris sa mort :

     

    L’association l’Initiative pour la Résurgence du Mouvement Abolitionniste en Mauritanie IRA- Mauritanie a publié le communiqué suivant sur le blog Info de la Rue :

    La mort de Lamine Mangane ne peut en aucune manière rester impunie. Si l’autorité perçoit cet assassinat comme un acte de dissuasion, elle se trompe lourdement, il risque au contraire d’envenimer la situation et de semer le chaos.

     

    Un passé fait de tensions raciales

    Lamine Mangane n’est pas la seule victime des tensions raciales persistantes entre Noirs et Arabes en Mauritanie. Le Mouvement pour la justice et l’égalité en Mauritanie (MJEM) stipule que Bakary Bathily, 25 ans, un activiste de droits civiques, étudiant à la faculté de droit et d’économie de l’Université de Nouakchott, a disparu depuis le 22 février :

    Les autorités ont lancé un chasse à l’homme pour arrêter le jeune militant et l’empêcher de faire avancer la cause des Africains Noirs opprimés en Mauritanie. Rien qu’à Nouakchott, des dizaines d’étudiants noirs ont été arrêtés cette année. D’autres ont été malmenés et torturés par la police [..] La famille Bakary ne l’a ni vu et n’a eu aucun échange avec lui depuis le 2 février 2012. De nombreuses organisations des droits de l’homme en Mauritanie ont demandé au gouvernement d’annuler la chasse à l’homme …

     

    Le blog Flere nous rappelle la longue histoire des incidents entre Arabes et Noirs en Mauritanie :

    Arrestations de militaires en octobre 1987 à la suite d’un prétendu coup d’Etat militaire : trois exécutions, 23 condamnés entre 5 ans et la perpétuité, près d’un millier de militaires noirs chassés de l’armée après avoir subi toutes formes de tortures et d’humiliations. Des tortures et mauvais traitements qui allaient entraîner la mort de 4 prisonniers politiques à Waalata. Au mois d’avril 1989, des centaines de Noirs (700 au moins) sont massacrés á Nouakchott, à Nouadhibou et dans plusieurs autres localités mauritaniennes, avec la complicité des plus hautes autorités de l’Etat.

     

    Abdoulaye Yero DIA dit que cette situation ne peut durer plus longtemps :

    Une chose est claire et confirmée tout le long de l’Histoire : la durée de vie de l’oppression est très réduite à l’échelle de l’Histoire. Cette injustice doit s’arrêter. Que les dirigeants sachent une chose : en continuant à se comporter comme ils le font, ils sont entrain de nourrir la haine envers leurs propres enfants et de donner aux opprimés d’aujourd’hui des arguments pour justifier un désir de revanche.

     

    Abdoul Birane Wane détaille les évènements prévus avant la marche :

    Mercredi 26 septembre, un grand concert au 5eme arrondissement à partir de 18heures.
    - Jeudi 27 septembre à 11heures , sitin devant le ministère de la justice pour exiger le jugement des coupables.
    - 17heures, meeting au 6eme arrondissement.

     Ecrit par Rakotomalala · Traduit par Anna Gueye

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  • annonce de l'association survie.com, article et annonces à voir directement sur leur blog: http://survie31.over-blog.com/

    Jeudi 4 Octobre 2012 A 20 H 30 au Cinéma Central à Colomiers  

     

    Le CJS et l'association Survie MP vous proposent un ciné débat autour du film

    "LA PIROGUE"de Moussa Touré

    (Cannes 2012, Un certain regard, Prix Arri 2012 au 30e Festival international du cinéma de Munich... deux prix à Angoulême)

    Avec Catherine Mazauric , enseignante-chercheure à l’Université Toulouse Le Mirail, est auteure de Mobilités d’Afrique en Europe : récits et figures de l’aventure, un essai sur les récits de migrations illégalisées (Paris, Karthala, 2012).

     

     film diffusé par SurvieUn village de pêcheurs dans la banlieue de Dakar, d’où partent de nombreuses pirogues. Au terme d’une traversée souvent meurtrière, elles tentent de rejoindre les îles Canaries en territoire espagnol : un tremplin pour l’Europe et un monde meilleur ?

    Catherine Mazauric, enseignante-chercheure à l’Université Toulouse Le Mirail, est auteure de Mobilités d’Afrique en Europe : récits et figures de l’aventure, un essai sur les récits de migrations illégalisées (Paris, Karthala, 2012).

     

     

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  • par Hocine Belalloufi, article à voir sur http://www.lanation.info/Ou-va-le-Mali_a1344.html

    Où va le Mali ?

    samedi 8 septembre 2012, par siawi3

    Hocine Belalloufi

    Mardi 4 Septembre 2012

    Source  :http://www.lanation.info

    L’assassinat non encore confirmé officiellement à Alger d’un otage algérien détenu par les rebelles du Mujao et la prise de Douentza par les combattants de ce même mouvement islamiste replacent le Mali au centre de l’attention internationale.

    Au départ, en mars 2012, la crise politique malienne se présentait sous les traits d’un pays divisé en deux. Au Nord, une vaste province et sa population délaissées depuis des années par un pouvoir central situé au Sud se rebellaient et proclamaient l’indépendance et la naissance d’un nouvel Etat : l’Azawed. Au Sud, un pouvoir en crise s’avérait impuissant à juguler l’offensive triomphante des Touaregs menée par le Mouvement national de libération de l’Azawed (MNLA).

    Mais les choses s’avérant toujours plus complexes qu’il n’y paraît, les deux aspects de cette contradiction Nord/Sud étaient, pour chacun d’entre eux, une contradiction. Celle du Nord opposait les touaregs sécessionnistes plus ou moins démocrates et laïcs du MNLA aux islamistes d’Ansar Eddine et d’Aqmi qui entendaient pour leur part imposer l’application de la charia dans tout le Mali. Celle du Sud opposait un Président de la république élu et son régime finissants à des sous-officiers et soldats mécontents de l’impuissance de Bamako face à l’offensive nordiste. Résultat : une junte militaire renversa le président Amadou Toumani Touré (ATT). Pour être plus ou moins complet, ce tableau doit intégrer les intrigues d’autres Etats de la région (pays d’Afrique de l’ouest, Libye, Arabie saoudite…) ainsi que les intérêts et ingérences plus ou moins grossières de grandes puissances impérialistes extra-africaines (France, Etats-Unis…). Le tout sur fond de crise économique et sociale provoquée et aggravée par les politiques néolibérales imposées par les institutions capitalistes du Nord (FMI, Banque mondiale et les Etats du G7).

    Les lignes bougent

    Aujourd’hui, la situation a évolué. Le retrait de la junte militaire et l’imposition par les Etats voisins d’Afrique de l’ouest d’un président de la République et d’un Premier ministre intérimaires non élus n’ont pas résolu la crise politique à Bamako. La proclamation récente d’un « gouvernement d’union nationale » n’a toujours pas débouché sur la reconstruction de l’Etat central malien et, en premier lieu, de son armée en décomposition. Les conditions d’une réconciliation ou, à tout le moins, d’un dépassement de la crise politique au Sud sont-elles réunies aujourd’hui ? Rien n’est moins sûr.

    Au Nord, les islamistes – qui se sont avérés divisés en plusieurs formations : Ansar Eddine mais aussi Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique (Mujao) – ont pris le contrôle des principales villes (Gao, Tombouktou, Kidal), chassé les combattants du MNLA et proclamé l’instauration de la charia. Ne s’inscrivant pas dans la perspective d’un Etat touareg, ils affirment leur volonté d’instaurer la charia dans tout le Mali.

    Profitant de la décomposition politique apparente d’un régime miné par la corruption, les islamistes du Nord ont lancé une offensive militaire dans la zone Sud du pays formellement sous contrôle de Bamako. Traversant la ligne de démarcation qui sépare l’Azawad du Sud du pays, ils viennent de s’emparer, sans combats, de la ville de Douentza, située à 800 km de Bamako. Assistons-nous aux prémices d’une offensive générale des rebelles qui entendent profiter de la situation de troubles politiques dans le Sud et de la décomposition des forces armées qu’elle entraîne pour s’emparer de tout le pays ? Ou s’agit-il d’une simple manœuvre visant à tester les lignes de défense militaire et la capacité de réaction politique du pouvoir central ? On ne devrait pas tarder à le savoir.

    L’impuissance des va-t-en guerre

    Les Etats de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (Cédéao) menacent depuis plusieurs mois d’intervenir militairement au Mali en déployant une force composée de 3 300 soldats. Menant officiellement, sous la houlette du Burkina Faso, une mission de bons offices entre les différents acteurs de la crise malienne, ils pressent les forces politiques de Bamako (militaires, partis politiques…) de constituer un pouvoir fort à même de partir à la reconquête des vastes territoires du Nord.

    Ces voisins interventionnistes sont vivement encouragés de l’extérieur par les grandes puissances occidentales – en premier lieu les gouvernements français, de droite comme de gauche – qui n’entendent pas engloutir une fortune (400 millions de dollars) dans une intervention directe qui risquerait de s’enliser. La situation s’avère particulièrement délicate car la crise dépasse largement le cadre du seul Mali et touche toute la région. Une intervention militaire occidentale pourrait embraser tout le Sahel.

    Paris se dit prête à parrainer une intervention militaire de la Cédéao auprès du Conseil de sécurité de l’ONU. Des promesses de soutiens financiers et logistiques sont régulièrement annoncées. Des discussions se poursuivent avec le gouvernement d’Abdelaziz Bouteflika pour pousser l’Algérie à intervenir militairement au Mali.

    En attendant, sur le terrain, les islamistes assoient chaque jour un peu plus leur pouvoir au Nord et commencent à poser des jalons dans le Sud.

    Le Mali fait face à une crise politique interne. Aucune force militaire étrangère ne sera en mesure de la régler à la place du peuple malien. Une intervention militaire – régionale ou extracontinentale – risque au contraire de s’embourber dans les sables de la région car elle débordera fatalement du territoire malien. Toute la région du Sahel risque alors d’être déstabilisée. Personne n’en sortirait indemne. Chaque Etat de la région sera touché, au prorata de son investissement politique et militaire dans le conflit.

    Le talon d’Achille des oppresseurs

    La solution aux problèmes du Mali ne viendra pas de l’extérieur. Quelles que soient les difficultés rencontrées pour sa mise en œuvre, elle ne pourra venir que de l’intérieur du Mali. C’est dans la résistance aux oppresseurs, à tous les oppresseurs, qu’émergeront les forces qui viendront à bout de la crise malienne. Ceux qui, au Nord comme au Sud, disposent aujourd’hui de la force des armes, semblent invincibles. Ils ont pourtant un talon d’Achille qui peut, s’il est atteint, les faire chuter. Ce talon d’Achille réside dans l’oppression qu’ils font subir à leur propre peuple, oppression qui engendre des résistances.

    On voit ainsi émerger des forces qui résistent dans le Nord au régime réactionnaire et oppresseur imposé par les troupes d’Ansar Eddine et du Mujao. A Gao, à Tombouctou et à Kidal, des jeunes et des moins jeunes refusent l’instauration d’un pouvoir prétendument islamique qui se réduit à détruire les mausolées des saints traditionnels, à couper la main des voleurs, à lapider les couples vivant hors-mariage et à fouetter les femmes qui ne portent pas le voile ainsi que tous ceux qui fument, s’adonnent au jeu, à la musique

    Dans le reste du Mali, les pouvoirs en place se sont soumis depuis longtemps aux ingérences des Etats voisins, de la France et des Etats-Unis pour favoriser le pillage de leur propre économie, le pompage de ses ressources financières, la mise en coupe réglée de son économie... Les terres, le bétail, les ressources minières et les hommes sont bradés au profit de multinationales et d’institutions financières étrangères. Cette politique néolibérale est appliquée par des régimes compradores corrompus qui ont imposé une thérapie de choc à leur propre peuple. Cela a provoqué une grande crise sociale puis l’effondrement du Nord face au MNLA et aux islamistes. Le pouvoir au Sud a fini par être rattrapé par la crise, ce qui a provoqué l’émergence de forces civiles et militaires qui refusent la descente aux enfers du Mali.

    La solution entre les mains du peuple malien

    La résistance au pouvoir compradore, aux puissances étrangères et aux oppresseurs islamistes prendra du temps car ces forces sont faibles pour l’instant. Mais elles sont, à l’exclusion de toutes les autres, porteuses d’avenir.

    Ces forces peuvent converger autour d’un projet émancipateur, c’est-à-dire véritablement national, social, laïc et démocratique. Contrairement à une idée largement répandue, le Mali n’est pas dépourvu d’atouts économiques. C’est un pays riche de son agriculture, de son élevage, de sa pêche, de ses richesses minières et, surtout, de son peuple. Il dispose des moyens de développer une industrie légère de transformation de ses produits agricoles. Mais il a besoin de se protéger des ingérences des grandes puissances alléchées par ses richesses et sa position géostratégique.

    Le peuple malien a besoin d’un projet répondant aux aspirations de la majorité : travailleurs, agriculteurs, éleveurs, pêcheurs, chômeurs, étudiants, petits commerçants et artisans… Un projet qui n’impose ni croyances ni rites mais qui respecte au contraire la liberté de conscience et la liberté de culte de chacun. Un projet basé sur l’égalité entre hommes et femmes. Un projet qui reconnait et accorde toute sa place aux différentes cultures, langues et croyances populaires. Seul un tel projet sera en mesure d’intégrer les différentes parties du peuple malien pour en faire une force redoutable sur laquelle viendront se fracasser toutes les tentatives de domination locale et étrangère.

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